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30/09/2011

99ème Pèlerinage Légitimiste à Sainte-Anne-d’Auray

Le 99ème pèlerinage légitimiste à Sainte-Anne-d’Auray s’est déroulé les 24 et 25 septembre 2011.

 

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L’arrivée à Sainte-Anne-d’Auray le 24 septembre.

Cette année, les participants du samedi avaient le choix entre :- une marche de pèlerinage, depuis N-D de Lézurgan (Plescop) jusqu’à Sainte-Anne d'Auray, et une visite guidée de Vannes (habitat du Moyen-Âge, fortifications, patrimoine religieux,…).

Une veillée près du monument du Comte de Chambord les rassemblait tous dans la soirée.

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Le dimanche, la messe était célébrée en la Chapelle du champ des Martyrs, par M. l’abbé Jean-Baptiste Guyon de la FSSPX, devant plus de cent dix personnes.

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Puis c’était, au pied du monument du Comte de Chambord, l’allocution de Pierre Bodin, Président de l’UCLF.

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110925d.jpgUn repas était servi au restaurant La Croix Blanche et110925e.jpg Dominique Coudé démontrait que la Restauration avait, quoiqu’on en dise, rétabli la religion catholique dans nombre de ses droits. Il esquissait, pour terminer, les grandes lignes de la politique algérienne de Charles X, bien 110925f.jpgdifférente de celle qui inspira, par la suite, les régimes successifs et qui 110925g.jpgeut le résultat que l’on sait.

 


 

Légitimisme, pèlerinage légitimiste, sainte-anne-d'auray, 2011

Une salle attentive pendant la conférence.

La journée se terminait par la visite de nombreux stands bien fournis en livres et objets divers.

http://www.uclf.org/page65.html

28/09/2011

réunion du Cercle Légitimiste Paul Barillon

Prochaine réunion du Cercle Légitimiste Paul Barillon



Samedi 5 novembre 2011

à 15 heures

au château de Bonnezeaux (Thouarcé 49380)


Réunion du Cercle Légitimiste Paul Barillon :

Nous continuerons l’étude du Manifeste, dont vous pouvez bien sûr commencer ou achever la lecture d’ici là, afin de profiter de la réunion pour éclaircir ou préciser les points qui vous paraissent le demander.
Pour ceux qui viendraient pour la première fois, la présence à chaque réunion n’est pas obligatoire, puisqu’il est quasi impossible qu’une seule date convienne à tous, même s’il est préférable de venir régulièrement. Le responsable envoie systématiquement à toutes les personnes intéressées une proposition de date(s) : à chacun de faire au mieux.


*** Province d’Anjou ***



http://www.uclf.org/page11.html
 

 

27/09/2011

Réunion du Cercle Jean de Beaumanoir

Réunion de rentrée du Cercle Jean de Beaumanoir 
 Vendredi 30 Septembre de 16 à 18h  
(précises). 
 
 
 
 
sur le thème :  
 
 
INTRODUCTION A LA POLITIQUE 


 

à SAINT-SOLEN  22100 LANVALLAY 
 
 
 
http://www.uclf.org/page15.html#Beaumanoir 

 

 

21/09/2011

Archives Légitimistes / La rencontre à Dreux

FranceRoyale.jpgDans le bimestriel "Bourbons Magazine" de juillet/août 1999. 

Suite au décès du comte de Paris. Nous pouvons lire un article qui parle de la rencontre du 27 juin de la même année entre Monseigneur Louis XX et son cousin Henri d'Orléans. Le Prince répond aux questions de Bertrand Guillerm concernant directement la signification de ce rapprochement familial historique. (En effet il faut remonter en 1873 pour trouver une telle rencontre entre les deux aînés des deux branches de la Maison de Bourbon).

C'est un article très intéressant, ou Monseigneur Louis XX rappelle de façon claire le principe de légitimité, et des règles dynastiques :

Tout à débuté par une déclaration du prince Louis de Bourbon parue dans le Figaro, le lundi 21 juin 1999, à la suite du décès du comte de Paris : "Je prends part au deuil d'un membre de la famille de Bourbon". Ajoutant que "contrairement à ce qui est couramment avancé, le prince Henri d'Orléans n'était que l'aîné de la branche cadette de la Maison de Bourbon". Il espérait enfin que le nouvel aîné des Orléans "saura s'en souvenir" et "qu'avec lui l'ensemble de la famille pourra se réconcilier".

La réponse ne se fait pas attendre, puisque le duc d'Anjou reçoit un télégramme l'invitant à assister aus obsèques le lundi suivant. Ne pouvant s'y rendre, il propose toutefois de venir à Dreux se recueillir devant la dépouille du défunt, accompagné du fils de celui-ci. Acte de noblesse et de courage, quand on connaît les différents qui opposaient non seulement les deux familles, mais également les deux hommes depuis les procès de 1989.

Le dimanche 27 juin à 15 heures, S.A.R. le prince Louis de Bourbon est accueilli par S.A.R le prince Henri d'Orléans sur les marches de la nécropole royale de Dreux, fermée pour la circonstance. Accolade, puis quelques minutes de recueillement devant le catafalque violet recouvrant le cercueil du comte de Paris. Les deux hommes s'entretiennent ensuite en privé avant de se séparer.

Cette démarche devait avoir un caratère privée. La presse française, espagnole ou anglaise en a toutefois souligné le caractère execptionnel. Il faut en effet remonter en 1873 pour trouver une telle rencontre entre les aînés des deux branches de la Maison de Bourbon. A l'époque, Louis Philippe d'Orléans, comte de Paris, s'était rendu à Frohsdorf afin de s'entretenir avec le comte de Chambord. Notons toutefois une différence majeure : les princes de la famille d'Orléans avaient reconnu le peti-fils de Charles X comme le chef de famille, et la prééminence de ses droits à la couronne de France.

Il ne semble pas, sans vouloir minimiser l'importance de cette rencontre du 27 juin dernier, qu'elle aura de semblables retombées, et il faudra attendre plusieurs années pour en observer les conséquences. La presse a toutefois donné à la rencontre une signification qu'elle n'avait pas, suscitant pour le public des interrogations légitimes. Il nous a alors paru plus sage de demander au prinicipal intéressé ce qu'il en pensait :

B.Guillerm : Monseigneur, la presse a donné un large écho à la démarche que vous avez effectuée le Dimanche 27 juin, en vous rendant à Dreux pour rendre hommage au comte de Paris décédé, avec le fils aîné de celui-ci. Quel sens donnez-vous à cette visite ?


Sans.pngMgr Louis XX : Je crois que comme aîné de la famille il était de mon devoir d'accomplir ce geste, et de témoigner ma sympathie à mon cousin Henri. Outre le fait que son père était une personnalité qui a compté dans l'histoire contemporaine, j'ai estimé que le moment était venu pour moi de faire un geste visant au rapprochement des deux branches des Bourbons. J'en avais évoqué le souhait dès le dimanche 20 juin, et cela a été repris par la presse. Je crois que mon cousin était dans les mêmes dispositions. J'ai donc fait ce que doit faire tout chef d'une famille quand un de ses membres est dans l'affliction.


B.Guillerm : Vous évoquez le prince Henri d'Orléans, nouveau comte de Paris. Pourriez vous nous dire comment s'est passé votre rencontre avec lui ?



Mgr Louis XX : De la meilleure manière possible, et même avec cordialité. Il est bien dommage que cette rencontre avec mon cousin se soit déroulée dans d'aussi tristes circonstances, mais enfin il faut un début à tout.



B.Guillerm : Vous dîtes "début", voulez-vous dire par là que vous envisagez de rencontrer de nouveau Henri d'Orléans ?



Mgr Louis XX : Mais bien sûr, et ses enfants qui sont de la même génération que moi aussi. Je suis toujours disposé aux rapprochements familiaux comme je l'ai dit à mon cousin.



B.Guillerm : Faut-il interpréter cette rencontre comme une reconnaissance dynastique des droits du nouveau comte de Paris ?



Mgr Louis XX : Ecoutez, si malgré l'invitation de mon cousin aux obsèques officielles de son père, je n'ai pu y assister, c'est précisément pour ne pas entretenir de confusion en matière dynastique. Une chose est le rapprochement familial et personnel, une autre chose la position dynastique de chacun. Je suis l'aîné de tous les Bourbons et mon cousin Henri et l'aîné de la branche d'Orléans. Il n'y a rien de plus à ajouter. Je reconnais que les controverses dynastiques sont pénibles et il y en a d'autres dans ma propre famille comme dans bien des familles royales européennes : elles ne servent guère l'idée royale qui est avant tout une idée de réconciliation. Mais je suis dépositaire d'un droit qui vient du fond des âges, et auquel correspond pour moi un devoir : celui de le maintenir, comme le je l'ai reçu, pour le transmettre à mon tour. Je ne peux l'arranger à ma façon, ni m'en dessaisir. Voilà ma position, mais je ne peux évidemment pas empêcher les uns ou les autres d'interpréter à leur manière le geste que je viens d'accomplir. 

Vu sur le forum Légitimiste :

http://royaume-de-france.clicforum.com/t182-Precisions-dy...

13/09/2011

« La correspondance Marie-Antoinette - Fersen pendant la Révolution »,

Lundi 3 octobre 2011, à 19h00 précises :

Conférence organisée par l’IMB : 

 
« La correspondance Marie-Antoinette - Fersen pendant la Révolution »,
par Gérard Ousset, président de l’association Marie-Antoinette. 
 


 
 
Lieu : DRAC, 8 bis rue Vavin - 75006 Paris (Métro Vavin)
Possibilité de dîner : 21 € - S’inscrire auparavant au secrétariat de l’IMB : 01 45 50 20 70
 
 
 
Source :
 

01/09/2011

25 et 26 août 2011 : Fête de la Saint-Louis en Anjou

im1.jpgCe sont près de soixante personnes qui sont venues célébrer la Saint-Louis en Anjou, ces 25 et 26 août.

Organisée en collaboration avec le  Cercle légitimiste Paul Barillon, la journée du 25 débutait par la célébration de la messe au couvent dominicain de La Haye-aux-Bonhommes, près d’Angers. Elle se poursuivait par la présentation de la vraie Croix du Christ, conservée par la Communauté des Filles du Cœur de Marie, à Baugé. Privilège rarissime, la Croix était sortie de son coffre de verre
pour être proposée à la vénération des participants.
 
fête de la saint louis,anjou,uclf,imb,cercle paul barillonL’on se retrouvait, un peu plus tard, au restaurant du Golf, autour d’une table bien garnie. Le Prince de Bauffremont pouvait alors prononcer
son allocution de bienvenue. Le repas était suivi de la visite du château de Montgeoffroy à Mazé. Habité par la même famille depuis sa construction par le
maréchal de Contades, en 1772, ce château ne manquait pas d’émouvoir les visiteurs.
 
fête de la saint louis,anjou,uclf,imb,cercle paul barillonLa journée se poursuivait et se terminait par la visite du château du Plessis-Bouré, à Écuillé.Poivrières, douves en eau, double pont-levis, portes fortifiées..., tout au Plessis-Bouré incite le visiteur à s’imaginer au XVème siècle !
 
L’on se restaurait, ensuite, à l’Auberge de la Loire, à Montjean. Puis, c’était le château de Brissac, le plus haut château de France, qui accueillait les participants. La journée se terminait par une dégustation de vins dans les célèbres caves du château, où chacun se serait bien attardé s’il n’avait fallu penser au retour...