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25/08/2014

Communiqué du Secrétariat Particulier de Monseigneur le duc d'Anjou. Pour les Chrétiens d'Orient, osons fêter la Saint-Louis

roiLouisxx.JPG25 août fête de Saint Louis. En cette année de commémoration de la naissance du grand roi né en 1214, elle ne peut passer inaperçue ni nous laisser indifférent car l'image du roi nous ramène immanquablement à la Terre Sainte qui a tenu une grande place dans sa vie de souverain, de souverain chrétien. Or huit siècles après, cette terre se trouve toujours en guerre avec son lot de victimes et de drames vécus au quotidien par une des plus vieilles populations chrétiennes de la terre. Nous assistons à une véritable persécution qu'il faut dénoncer comme crime contre l'humanité. Les Chrétiens d'Irak qui étaient 1,5 millions il y a une trentaine d'années sont moins de 400 000. Le combat est celui, une nouvelle fois de David contre Goliath, des petits contre les géants. Mais les géants de nos jours sont armés puissamment et non moins puissamment fanatisés. Les moyens de résister sont faibles. Pourtant ne faut-il pas tout faire pour que ces Chrétiens demeurent sur leur terre ? Ils y vivent depuis toujours, depuis le début de l'ère chrétienne, c'est-à-dire bien avant que l'Islam n'y soit venu.
Saint Louis le saint de la justice, du bien commun et de la famille, est aussi celui d'un dialogue méditerranéen. S'il est plus que connu en France où les cérémonies organisées à l'occasion du 8ème centenaire de sa naissance et de son baptême sont nombreuses, il l'est aussi de la Tunisie à l'Egypte en passant par Chypre et il est encore largement honoré au Liban.
Saint Louis, le premier, accorda la protection de la France aux peuples chrétiens d'Orient. Depuis, de François 1er à Napoléon III tous les souverains honorèrent cette promesse. La République n'y fut pas insensible même si parfois sa position manque de vigueur. Toutefois la voix de la France n'est plus aussi forte qu'auparavant et beaucoup de « bruits de fond » empêchent qu'elle soit bien audible. Ces peuples martyrs manquent de protecteurs.
Pourtant la situation des Chrétiens d'Orient demande à ce que l'on parle en leur nom. Le Pape François l'a fait fermement et courageusement il y a quelques jours. Plusieurs évêques et cardinaux français sont partis sur le terrain et ont montré par l'exemple et la prière que les chrétiens d'occident, que les fils de Saint Louis étaient à leur côté. Mais cette présence, ces prières doivent être soutenues et amplifiées. C'est à nous, nations chrétiennes dans un monde plus ou moins préservé, de rappeler qu'il y a des valeurs essentielles avec lesquelles les politiques ne peuvent transiger. Celles de la vie tout d'abord, de la vie respectée de la conception à la mort ; celles, ensuite, d'une société sachant s'élever au-dessus des seuls matérialismes et hédonismes comme vient encore de la rappeler le Pape François à Séoul ; celles, enfin, du respect mutuel entre croyants.
Le message chrétien dont la France a longtemps été le porte-parole est celui de la primauté du droit sur la force. La force du conquérant ne peut rien contre les droits de ceux qui ont toujours été là et qui se sont toujours reconnus comme chrétiens.
Cette présence chrétienne dans le cœur du Moyen-Orient, dans le berceau de la civilisation née en Mésopotamie, est une richesse pour toute l'humanité. Que serait celle-ci si l'uniformité régnait, si l'uniformité de la brutalité régnait ? Le message de Saint-Louis encourage à préserver cette richesse. Lui qui savait pardonner à ses ennemis, et a toujours mis toute son énergie en avant pour que la chrétienté puisse vivre sur la Terre Sainte. C'est la vigueur de sa foi et de ses vertus de chrétien qui ont fait que même prisonnier, ses ennemis l'ont estimé. C'est ainsi qu'il est saint et que huit siècles après il est toujours honoré.
Aîné des descendants de Saint Louis, je lance donc un appel en faveur des chrétiens du Moyen-Orient afin que la paix leur soit donnée, afin qu'ils puissent vivre sur leur terre et continuer à témoigner qu'au-delà de la violence des hommes, il y a place pour la charité, la justice, le droit. C'est cela la paix de Dieu. Le message malgré les siècles demeure. Le Pape François le prêche partout dans le monde. Il appartient à tous les hommes de bonne volonté de le diffuser et de faire vivre ces valeurs en redonnant du sens à leur vie. Pour les Chrétiens d'Orient, face aux persécutions et à l'exil forcé, il y a urgence. Telle est la prière que nous pouvons adresser à Dieu, par l'intercession de Saint-Louis en sa fête le 25 aout.


Louis, duc d'Anjou
Aout 2014

Source ICI.

29/01/2014

Faux groupes légitimistes et faux profils Louis XX sur facebook

contrefaçons, faux groupes, Louis XX, facebook, internet, réseaux sociauxNous publions un article sur cette multitude de groupes légitimistes complètement bidons et de faux profils Louis XX sur facebook (site de réseau social), tant il devient particulièrement désagréable de voir un nombre croissant de personnes crédules se laisser abuser par les manipulations perfides d'une poignée d'utilisateurs anonymes irresponsables peu scrupuleux en réalité de l'avenir de la cause légitimiste ; ainsi que par l'image négative que ces usurpateurs donnent du prince en tentant principalement de l'équiper des oripeaux du diable : drapeau B.B.R, marseillaise, démocratie, philosophie politique orléaniste, prises de positions contre-nature vis-à-vis de la famille, vis-à-vis du droit naturel et chrétien etc etc... pour ne citer que les principaux cas de figure récurrents et nuisibles à la tradition royale qui nous est si précieuse et qui est celle défendue par l'UCLF depuis sa fondation en 1979 par Monsieur Gérard Saclier de la Bâtie.   


Intéressons nous aux différents profils qui animent ces petites structures purement virtuelles, et essayons ensemble de comprendre les motivations réelles de ces personnalités diverses. Après une très rapide réflexion, il me semble que nous pouvons les distinguer en quatre grandes catégories :

1) Les courtisans
2) Les libéraux
3) Les perdus, les isolés
4) Les ennemis déguisés en légitimistes pour la circonstance


- Les courtisans, qui sont-ils ? Ce sont ceux qui ne se soucient pas où peu de la tradition politique qui fait la vraie France de Dieu et qui désigne aux Français leur Roi. Ils aiment se presser, se bousculer autour du prince lorsqu'il vient en France pour une commémoration, l'objectif est de poser sur la photo. Leurs discussions sont sans aucun intérêt pour la restauration Monarchique, jamais on ne les voit investir le champ de la politique et venir se heurter aux idéologies qui contestent le droit à notre Roi de reprendre la place qui lui revient au sein du Royaume. Bavardages stériles, propos inutiles et mondanités sont la caractéristique des courtisans.

- Les libéraux : A l'inverse des courtisans, les libéraux se placent dans le champ politique. Leur spécialité (celle que l'on retrouve dans toutes les sociétés de pensée) est de travestir les principes politiques intangibles de la légitimité, avec les symboles et les méthodes d'action révolutionnaire. Sur facebook, ces groupes "légitimistes" pensent qu'il suffit de soutenir le bon "prétendant" sans se soucier aucunement de philosophie politique. Ils croient possible de concilier les principes de la Monarchie Traditionnelle avec ceux de la démocratie. Or nous savons bien que la souveraineté est soit au roi, soit à l'assemblée maçonnique dite représentante du peuple. En ce sens et pour toutes les raisons ci-dessus évoquées, les légitimistes libéraux sont les ennemis du combattant contre-révolutionnaire.

- Les âmes perdus (les isolés) : A distinguer des autres groupes en raison qu'il s'agit ici d'individus où plutôt de proies potentielles que les autres groupes vont chercher à intoxiquer et à éloigner de l'essentiel, en les amenant à participer à des futilités où à des combats électoraux perdus d'avance.

- Les ennemis déguisés en légitimistes : Là nous soupçonnons en priorité ceux qui se cachent derrière les nombreux faux profils Louis XX, aucun légitimiste sérieux ne peut comprendre et admettre l'intérêt d'une telle entreprise, si ce n'est de s'afficher comme tel pour nuire à l'image de la monarchie française et ridiculiser l'image du prince en lui faisant dire n'importe quoi...    


Voilà pour ce très bref exposé dans le but de mettre en garde les légitimistes sincères contre toutes les impostures qui ne manquent pas de fleurir sans cesse sur facebook !
Contrairement à ce que beaucoup racontent sur facebook, le soutien au prince implique d'abord la reconnaissance des lois fondamentales du Royaume qui seules nous désignent l'héritier sans la moindre ambivalence, c'est la base à maîtriser qui va vous permettre de débusquer les nombreuses erreurs et de confondre les impostures.

Soutenir le prince sans le principe est non-sens qui ne peut conduire qu'au désordre et à l'impossibilité de distinguer les vrais concepts politiques de notre belle et glorieuse tradition Catholique et Royale Française.

Avant de rejoindre un groupe sur facebook :

1) Prenez au minimum le temps de vérifier l'association que celui-ci représente, son but, ses objectifs, sa motivation.

2) Vérifier s'il s'agit d'un groupe officiel ou non.

Légitimité infos

26/01/2014

Journée du souvenir. Discours de Louis XX

À l’issue de la messe de requiem pour Louis XVI, ce discours a été prononcé ce samedi 25 janvier par Louis XX. Un discours qui nous rappelle le devoir de chacun, la nécessité d’agir. Au-delà de l’hommage rendu aux Rois Louis IX et Louis XVI, il s’agit d’un message de soutien à la France et aux Français.

louisxx-4388667.jpgMon Père (Père A. Pic)
Monsieur l’Administrateur (de la Chapelle Expiatoire)

Chers Amis,

Quel plaisir de vous retrouver après cette cérémonie à la mémoire du roi Louis XVI qui nous a réunis, si nombreux, dans l’émotion et le souvenir.

Je commencerai par vous souhaiter une bonne et heureuse année, pour vous, les vôtres, vos familles, vos enfants. Mais ces voeux, je les adresse aussi plus largement à la France toute entière et aux Français. Je pense, notamment, à tous ceux qui se trouvent confrontés à des situations douloureuses de tout ordre. Beaucoup de nos contemporains souffrent, doutent, parfois sont désenchantés. Mes pensées vont vers eux.

Depuis des années, dans mes interventions publiques, j’ai rappelé qu’il ne s’agit pas pour nous d’être des nostalgiques, mais d’être des artisans de l’avenir.
Les exemples de grandes figures de la royauté vont dans ce sens. C’est à cela que sert la mémoire.

Louis XVI que nous venons d’honorer à travers cette belle cérémonie nous y convie. Mais, en 2014, un autre roi nous y aidera aussi : Louis IX, Saint-Louis, dont nous commémorons le 800e anniversaire de la naissance, survenue en 1214, la même année que la bataille de Bouvines.

Saint-Louis, par l’exemple de son œuvre et de sa vie, laisse une fondation solide sur laquelle il est toujours possible de construire. Son œuvre a été celle d’un roi qui a permis à la couronne de retrouver sa souveraineté face aux grands féodaux ; celle d’un roi qui a été habité par les valeurs chrétiennes pour réformer la justice et les institutions. Il a montré ainsi que l’éthique était au cœur de l’action publique. Voilà des principes encore bien actuels. Si actuels que, s’ils ne sont pas rappelés d’abord, puis remis au centre de l’action, notre société continuera à être instable et fragile.

Mais aujourd’hui, que représentons-nous ? Que souhaitons-nous ? A quoi sert de s’inscrire dans une tradition millénaire ?
Cela n’a vraiment de sens que si nous voulons apporter quelque chose à la société. Or, la société contemporaine est en pleine mutation. Je pense qu’elle a besoin de ce que la tradition représente et peut encore lui apporter.

Souvent, on me demande si je suis prêt à reprendre la place que la tradition donne à l’aîné des Bourbons. Je réponds toujours à cela, comme mon père l’a fait avant moi, que notre position est d’une nature différente. Nos droits sont incontestables et viennent du fond des âges et ils reposent sur cette union entre une dynastie et un peuple. Nous assumons ces droits restant disponibles.

Cette union a permis au royaume de France de se constituer peu à peu, du petit domaine entourant Paris, jusqu’aux frontières actuelles que Louis XVI s’évertuait à ouvrir au monde avec la Pérouse et les combats menés en Amérique contre l’Angleterre.

Tel est le miracle capétien, celui de la France aussi.

La France a progressé dans le cadre de la royauté dont les institutions reposaient sur la défense des faibles, et sur les valeurs héritées du message chrétien dont la première est le bien commun. Saint-Louis en a été le modèle que ses descendants ont suivi.

Le successeur légitime des rois de France doit conserver intact cet héritage, précieux trésor pour l’avenir. Ces valeurs ont fait leur preuve puisqu’elles ont permis à notre pays d’être gouverné et de progresser pendant huit siècles. Ce sont elles encore qui ont animé génération après génération les meilleurs de nos enfants. Cette permanence montre combien elles sont justes. Ce bien commun passe par l’unité nécessaire contre toutes les féodalités et les individualités qui veulent toujours s’imposer et imposer leur loi. Ce bien commun est aussi inspiré par le souci de la justice et du progrès social reposant sur la réalité et non l’idéalisme.

Devant les interrogations de notre génération actuelle face aux erreurs passées, nous croyons bien que nous aspirons à un renouveau. Le Pape François agit dans le même esprit en dénonçant avec vigueur les dérives de toutes sortes, notamment éthiques, qui désagrègent notre société.

Dans cette quête de renouveau et de sens, les jeunes se mobilisent. Ils retrouvent, faisant preuve d’une étonnante clairvoyance, le vrai, le juste et le beau. Ils l’expriment à leur manière et notamment à l’aide de tous les nouveaux modes de communication. J’y vois un message d’avenir. La ténacité de ceux qui ne furent d’abord que des sentinelles, des veilleurs, est assez puissante pour, peu à peu, amener des changements législatifs majeurs, comme l’Espagne nous en montre actuellement l’exemple. Nous savons que nous pouvons compter sur la puissance de la tradition et de ses réussites.

La force de la royauté a toujours été de savoir s’adapter aux évolutions tant que celles-ci avaient pour finalité le bien de l’homme créé à l’image de Dieu. Cette vérité de Saint-Louis, qui fut encore celle des grandes réformes du XVIII siècle initiées par les rois Louis XV et Louis XVI et que la Révolution est venue détourner, demeure actuelle. Saurons-nous l’entendre et la mettre en œuvre ?

Ce message est celui du présent et de l’avenir. Fidèle à la tradition royale française, je le porte, me sachant soutenu par l’exemple de mes ancêtres et par l’espoir qui vous anime.

Merci.

Louis, duc d’Anjou

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Source :

http://www.lerougeetlenoir.org/les-opinantes/journee-du-s...

22/11/2012

«La basilique de Saint-Denis est un livre d'histoire»

INTERVIEW - Pour monseigneur le duc d'Anjou, le prince Louis de Bourbon, prétendant au trône de France, la basilique de Saint-Denis est aussi un «lieu pédagogique».

priiince.JPGPour monseigneur le duc d'Anjou, le prince Louis de Bourbon, prétendant au trône de France, la basilique de Saint-Denis est aussi un «lieu pédagogique».

LE FIGARO. - La rénovation de la basilique va-t-elle dans le bon sens?

Mgr le duc d'ANJOU. - Comme chef de la maison de Bourbon et aîné des capétiens, je suis très satisfait des travaux annoncés. Mon souhait le plus cher est que ce lieu de mémoire de la France soit à la fois un lieu de recueillement, puisque des morts y reposent, mais aussi un lieu pédagogique où chacun pourra aller à la rencontre de notre histoire. La nécropole permet d'être en contact direct avec ces grands noms de l'histoire que sont Dagobert, du Guesclin, Henri IV, Louis XIV, Louis XVI ou Marie-Antoinette. Quand vous pensez que Napoléon avait prévu d'en faire aussi sa dernière demeure! Au-delà de tout clivage politique, je désire que cette grande fresque de l'histoire de France puisse être valorisée comme il convient. Certains trouveront toujours à redire parce que ce sont les rois qui ont fait la France qui y reposent. Là, ce n'est pas seulement l'héritier de mille ans d'histoire de France qui parle, mais aussi le Français à qui l'histoire de ce lieu appartient. Je souhaite apporter plus encore mon concours pour que, tous ensemble, nous acceptions notre histoire, des moments les plus fastes aux plus sombres.

Les travaux actuels sont-ils suffisants?

Il faut aller encore plus loin. À l'image des autres nécropoles européennes où, sous chaque dalle, sous chaque gisant sont installés pour l'éternité des restes humains, je voudrais qu'à Saint-Denis, chaque reste identifiable puisse être replacé dans son tombeau. Pour l'instant, tout est entassé dans des caveaux, parfois de façon inconvenante, même si je sais que les services du ministère de la Culture ont déjà beaucoup fait pour y remédier.

Pédagogiquement, est-ce si important?

Savoir que Henri IV ou Dagobert est sous telle dalle ou dans tel tombeau, c'est du concret tant pour un enfant que pour un adulte. Chaque petit Français a besoin de comprendre, c'est-à-dire de s'approprier notre histoire de France pour construire l'histoire de demain. La basilique est un formidable livre ouvert. Chaque page, chaque tombeau relate une époque.

Quand la tête d'Henri IV sera-t-elle réinhumée?

Pour l'instant, la tête est dans un lieu sûr en France qui lui assure de bonnes conditions de conservation. Comme elle a disparu de la basilique, il y a plus de 200 ans, il est important que son retour se déroule dans le consensus hors de tout clivage. Le temps compte moins à mes yeux que l'apaisement qui peut en résulter. Henri IV est un roi apprécié par tous, patrimoine national, il appartient à la France. Il a pacifié le pays après les guerres de religion, pourquoi n'y contribuerait-il pas aujourd'hui, de façon symbolique ?

 

Source :

http://www.lefigaro.fr/culture/2012/11/22/03004-20121122A...

25/08/2012

Présentation des Princes


07/08/2012

Le duc d'Anjou et sa famille en vacances

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http://royaume-de-france.clicforum.com/t823-Le-duc-d-anjou-et-sa-famille-en-vacances.htm#p7550

18/04/2012

Mercredi 25 avril 2012, à 12h15, à Paris

38ème anniversaire de Monseigneur le Prince Louis de Bourbon , duc d'Anjou

L'institut de la Maison de Bourbon fait célébrer une messe, en l'église Saint-Germain l'Auxerrois, paroisse des rois de France   

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http://www.royaute.org/page50a.html#120425

23/12/2011

Le duc et la duchesse d’Anjou : Noël en famille à Madrid

 

 

Le duc et la duchesse d’Anjou étaient en promenade près de la plaza Mayor de Madrid en compagnie de leurs trois enfants la princesse Eugénie, le prince Louis et le prince Alphonse de Bourbon. La famille a visité des stands de Noël et les plus petits ont ensuite profité d’un petit tour de manège.

 

Source :

http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/2011/12/le-duc-et-la-duchesse-danjou-noel-en-famille-a-madrid/

23/10/2011

Louis XX a la UNE de Vanity Fair

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10/10/2011

Louis XX "Henri IV doit retrouver la nécropole royale à Saint denis"

En 1793, durant la Terreur, la tête d’Henri IV, monarque qui reposait, depuis 1610, dans dans la nécropole royable de Saint-Denis, a été séparée de son corps par les révolutionnaires. En décembre dernier, après bien des décennies de pérégrinations, le crâne, retrouvé deux ans plus tôt chez un octogénaire, a été authentifié par une équipe de scientifiques et d’historiens orchestrée par le médecin légiste Philippe Charlier.

Le chef actuel de la maison de Bourbon, Louis de Bourbon, duc d’Anjou et aîné des descendants d’Henri IV, en est aujourd’hui le «dépositaire».

louis-de-bourbon-lp-audureau.jpgPourquoi estimez-vous qu’il est juste qu’Henri IV retrouve la nécropole royale à Saint-Denis?

Si je suis dépositaire aujourd’hui de cette tête, c’est par la volonté de son découvreur qui pendant 50 ans a cherché à l’identifier. Il a souhaité me la confier parce que je suis le porteur d’un héritage important : celui des rois de France. J’assume cet héritage et j’ai écouté cet homme modeste qui, avec l’humilité des gens de provinces, m’a dit qu’il désirait rendre hommage au « Bon Roi Henri ». Je souhaite aussi respecter sa volonté.

Saint-Denis étant la nécropole royale, je pense qu’il n’y a pas de meilleur emplacement pour enterrer un roi de France. C’est un roi qui fut aimé des Français, qui se préoccupa beaucoup de leur qualité de vie et qui contribua de façon conséquente au développement de la France. Il est donc parfaitement légitime de le ré-inhumer à Saint Denis.

C’est pour vous une sorte de «retour» à la maison...

Le terme «retour» est pour moi important car à sa mort, il fut inhumé dans la nécropole, puis son cercueil, comme de trop nombreux autres, furent l’objet de profanations inqualifiables et enfin, son chef fut volé. Il est normal qu’il repose maintenant en paix là où reposent les autres membres de ma famille. Ce n’est ni une pièce de musée, ni un reste archéologique. C’est une partie de la dépouille d’un homme, d’un chef d’Etat. Il mérite le respect.

Quelles sont les démarches à accomplir pour que votre vœu devienne réalité?

Une fois la tête authentifiée, j’ai sollicité, comme aîné de ma Maison, héritier moral et premier descendant de ce grand roi, l’Etat en la personne du Président de la République. Henri IV est en effet un personnage important de l’Histoire de France et de surcroit un chef d’Etat. La nécropole royale est placée sous la responsabilité du chef de l’Etat et du ministère de la Culture, je me devais donc de leur demander l’autorisation de faire ré-inhumer le roi Henri IV. Je suis très sensible à la question de l’unité et je sais combien aujourd’hui il est essentiel d’avoir l’unité entre les Français. Henri IV a réconcilié les partis en guerre. C’est un très bon exemple de chef d’Etat qui a vu en premier lieu l’intérêt supérieur de la Nation avant les conflits personnels et partisans.

Vous voyez dans votre démarche des vertus de réconciliation...

Les profanations et la période de la Terreur restent ancrées dans la mémoire collective avec une douleur inconsciente mais pourtant bien réelle. Pour moi, la réconciliation, c’est aussi faire que l’aîné des descendants des rois de France et le président de la République française aillent d’un même élan redonner à ce grand roi l’éternel repos qu’il mérite. J’aimerais que des élèves des écoles puissent être présents car c’est notre mémoire, notre patrimoine collectif.

Est-ce que cela doit donner lieu à une cérémonie, à l’instar de celle organisée en 2004 en la mémoire de Louis XVII?

Je pense effectivement qu’Henri IV mérite une cérémonie officielle. Le cœur de Louis XVII fut enterré officiellement. A la mort de Louis XVI, il est devenu de droit Roi de France même s’il n’a pas régné. Henri IV fut roi et régna, il mérite bien les honneurs de la France et je le répète, c’est une bonne occasion de réconcilier les Français avec une période trouble de notre histoire. Nous avons besoin de cohésion nationale. La découverte de la tête du roi Henri IV est un formidable clin d’œil de l’Histoire pour notre monde actuel. Cela ne souffre aucune contestation ni querelle par respect pour ce qu’Henri IV a fait pour notre pays. Son retour à la nécropole royale de Saint Denis doit dépasser les questions partisanes pour le bien de la France.

 

 

 

Le Parisien

 

Source :

http://www.leparisien.fr/__null__/louis-de-bourbon-henri-...