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06/09/2010

Baptême des princes Louis et Alphonse de Bourbon au Vatican

Baptême des princes Louis et Alphonse de Bourbon

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Selon le magazine “Vanitatis”, le prince Louis de Bourbon, duc de Bourgogne et le prince Alphonse de Bourbon, duc de Berry ont été baptisés dans l’intimité familiale au Vatican. Le lieu aurait été choisi afin que la grand-mère paternelle du duc d’Anjou, Emmanuelle de Dampierre, duchesse d’Anjou et de Ségovie, qui réside à Rome et qui a une santé fragile, puisse assister à la cérémonie. Le duc et la duchesse d’Anjou accompagnés par leur fille la princesse Eugénie avaient été aperçus ces derniers jours dans les rues de Rome. (Copyright photo d’archives : Efe - Source : Vanitatis )

Sources :

http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/?p=38674

http://www.diezminutos.es/famosos_corazon/famosos_espanol...

05/09/2010

5 septembre 1638 : Naissance du futur «Roi-Soleil»

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Louis Dieudonné, futur Louis XIV, naît le 5 septembre 1638 au château de Saint-Germain-en-Laye, à l'ouest de Paris.

Ses parents, Louis XIII et la belle Anne d'Autriche (37 ans l'un et l'autre), sont d'autant plus ravis de la naissance de ce premier enfant qu'elle arrive après plus de 22 ans de mariage !

Le 10 février 1638, à peine la grossesse de la Reine est-elle avérée que le Roi réalise son voeu de consacrer le royaume de France à la Vierge Marie. Depuis lors, le 15 août, fête de l'Assomption de la Vierge, est férié et chômé en France.

 Neuf mois plus tard, enfin, survient l'accouchement. Le travail est difficile. Ainsi naît le petit Louis. Son deuxième prénom (Dieudonné) atteste des circonstances miraculeuses de sa naissance et des espoirs qui reposent sur lui.

La Reine fait élever au sud de Paris, sur le flanc de la montagne Sainte-Geneviève, la très belle église du Val-de-Grâce.

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03/09/2010

3 Septembre naissance de Louis VIII

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LOUIS VIII le Lion
(né le 3 septembre 1187, mort le 8 novembre 1226)
Roi de France : règne 1223-1226

Louis VIII a été surnommé Cœur de lion. Ce surnom fut une modification de celui de Lion qu'on lui donna après sa mort, parce qu'on lui appliqua une prophétie de Merlin qui se rapportait à l'année de sa naissance et suivant laquelle le Lion pacifique devait mourir au ventre du mont. On prétendit que le lion pacifique désignait le roi Louis et que la ville de Montpensier, où il mourut, était la panse ou le ventre du mont.

Fils de Philippe-Auguste et d'Isabelle de Hainaut, qui descendait de Charlemagne, Louis VIII naquit le 3 septembre 1187, monta sur le trône au mois de juillet 1223, et fut sacré à Reims le 2 du mois suivant avec Blanche de Castille, sa femme. Louis VIII est le premier des rois de France de la troisième dynastie qui n'ait point été associé à la couronne

Roi Louis VIII le Lion
Louis VIII le Lion (1223-1226)

par son prédécesseur : Philippe-Auguste se contenta de le recevoir chevalier avec beaucoup de solennité.

Du reste le trône était de plus en plus considéré comme héréditaire ; par une conséquence nécessaire, Louis se saisit des rênes du gouvernement aussitôt après la mort de son père, et il agit en souverain avant d'avoir été sacré. Avant la mort de Philippe-Auguste, ce prince avait été sollicité par les seigneurs anglais, révoltés contre Jean, de passer en Angleterre, et il s'était rendu dans cette contrée.

Malgré les vives oppositions du pape, qui le menaçait d'excommunication, et quoique Philippe eût l'air de désapprouver cette expédition, rien ne l'avait arrêté : il entra victorieux dans Londres, où il avait été proclamé roi. Par son activité, il avait soumis promptement ceux qui tenaient encore pour le monarque détrôné : mais ce malheureux prince étant mort, tous les vœux s'étaient portés sur son fils ; et Louis, abandonné par ceux qui l'avaient appelé, puis assiégé dans Londres, n'avait obtenu la permission de revenir en France qu'en promettant de rendre un jour aux Anglais tout ce que Philippe-Auguste leur avait enlevé.

Ce traité fut la cause ou le prétexte que Henri III, roi d'Angleterre, donna pour ne pas paraître lui-même ou se faire représenter au sacre du roi de France, son seigneur suzerain : loin de là, le monarque anglais envoya des ambassadeurs sommer le nouveau roi d'exécuter ses engagements, en restituant la Normandie et les autres provinces confisquées sur Jean Sans terre.

Louis répondit que les Anglais avaient les premiers violé plusieurs clauses du traité ; et il fit surtout valoir les constitutions du royaume, qui ne permettaient pas au roi d'en démembrer les provinces sans le consentement des seigneurs. Aussitôt il rassembla une nombreuse armée, entra dans le Poitou, où il défit Savari de Mauléon, l'un des plus habiles capitaines de ce temps-là ; il s'empara ensuite de Niort, de Saint-Jean d'Angely, et vint mettre le siège devant la Rochelle, qu'il obligea de capituler malgré les efforts de Mauléon, qui s'y était jeté.

Il reçut le serment du vicomte de Limoges, du comte de Périgord, enfin de tous les seigneurs d'Aquitaine, jusqu'à la Garonne, et retourna triomphant à Paris. Au printemps il partit des ports d'Angleterre une flotte de 300 voiles, sous les ordres de Richard, frère du roi ; et ce jeune prince, étant débarqué à Bordeaux, réunit sous ses drapeaux un grand nombre de seigneurs, s'empara de Saint-Macaire, et alla mettre le siège devant la Réole, où il fut repoussé par les habitants.

Averti qu'il arrivait aux Français de puissants secours, il se hâta de se rembarquer pour l'Angleterre. Louis pouvait sans peine à cette époque soumettre tout le reste des possessions anglaises dans cette contrée ; et tel parut être son projet : ce fut en vain que Henri III lui fit écrire par le pape des lettres menaçantes. Mais le monarque anglais fut plus heureux dans l'offre de trente mille marcs d argent, pour lesquels Louis accorda une trêve de quatre ans, au moment où tout semblait l'inviter à poursuivre ses conquêtes.

Le pape Honorius III, que les Anglais avaient mis dans leurs intérêts, redoubla d'efforts et d'intrigues : pour occuper Louis sur un autre point, il lui fit embrasser la cause de la maison de Montfort contre le comte de Toulouse, Raymond, et il le détermina à se mettre à la tête d'une croisade contre les Albigeois. Quelque franches et loyales que fussent les explications du comte de Toulouse, il fut déclaré hérétique par le légal du pape, qui donna au roi de France la possession de ses domaines.

Ce monarque assembla en conséquence une puissante armée, et il marcha contre les Albigeois, accompagné du légat. Mais en même temps qu'il faisait tous ses efforts pour conserver la paix, Raymond avait pourvu, avec autant de sagesse que d'habileté, à tous les moyens de défense ; et tandis que Louis entreprenait cette guerre inique sans aucune prévoyance, son ennemi se préparait avec une louable prudence à soutenir la cause la plus juste.

Avignon arrêta pendant trois mois le monarque français, qui ne devint maître de celle ville qu'après des assauts réitérés et lorsque le fer de l'ennemi, la disette et la contagion eurent détruit une grande partie de ses troupes. Enfin, la place capitula, et l'armée française pénétra dans le Languedoc, où tout se soumit jusqu'à quatre lieues de Toulouse. La saison était trop avancée pour le siège de cette ville : le roi se hâta de retourner en France ; mais il tomba malade en chemin et, ayant été forcé de s'arrêter au château de Montpensier en Auvergne, il y mourut le 8 novembre 1226, à l'âge de 39 ans.

Quelques historiens disent qu'il fut empoisonné par Thibault, comte de Champagne ; mais cela est peu vraisemblable. D'autres pensent que la maladie à laquelle il succomba venait d'un excès de continence. Guillaume de Puylaurens rapporte que les médecins, ayant imaginé d'introduire dans son lit une jeune fille pendant qu'il dormait, à son réveil elle lui exposa le motif de sa présence : « Non, ma fille, lui dit Louis, j'aime mieux mourir que de sauver ma vie par un péché mortel. »

On a beaucoup blâmé Louis VIII de s'être arrêté au milieu de ses triomphes pour aller soumettre les Albigeois, au lieu d'expulser entièrement les Anglais de la France ; mais il convient de dire, à la justification de ce prince, qu'il avait besoin de ménager l'empereur, qui, en consentant à ne former aucune alliance avec l'Angleterre, ne voulait pas cependant qu'on profitât de la jeunesse de Henri III pour le dépouiller : il était de même obligé de ménager les seigneurs, qui ne voyaient pas sans peine le plus grand vassal de la couronne traité avec tant de rigueur ; il devait craindre aussi que le pape n'intervînt en faveur des Anglais, qui d'ailleurs faisaient bonne résistance.

Au surplus la guerre contre les Albigeois, tout injuste et cruelle qu'elle fût, présentait dans l'avenir d'assez grands avantages sous le rapport de la politique : le comté de Toulouse devait être le prix de la victoire, et cette possession eût rendu l'expulsion plus facile ; enfin Louis ne pouvait pas s'attendre à une mort si prompte. Juger les opérations d'un monarque qui ne régna que trois ans comme s'il avait eu le temps d'accomplir ses projets est une grande injustice ; car de ce que Louis fit la paix après avoir enlevé aux Anglais la moitié des domaines qu'ils possédaient en France, on ne peut pas conclure qu'il ne pensât pas à leur arracher le reste, surtout dans un siècle où ces alternatives de paix et de guerre formaient toute la politique des deux nations.

Malgré la brièveté de son règne, ce prince a marqué sa place entre Philippe-Auguste et Saint-Louis. Son expédition d'Angleterre annonce une âme ferme, au-dessus de toute crainte, même de celle des excommunications, si redoutables à cette époque ; il emporta l'estime de la noblesse anglaise, forcée d'admirer son courage, en se tournant contre lui. Pendant trois ans qu'il fut sur le trône, il ne cessa de combattre et de vaincre ; il augmenta les domaines de la couronne par ses armes et par d'heureuses acquisitions.

On prétend que Philippe-Auguste avait dit dans les derniers moments de sa vie : « Les gens d'Église engageront mon fils à faire la guerre aux hérétiques albigeois ; il ruinera sa santé à cette expédition, il y mourra, et par là le royaume restera entre les mains d'une femme et d'un enfant. » Cette prophétie a bien l'air d'avoir été faite après l'événement.

Ce qui est certain, c'est que Louis VIII, comme le remarque le chroniqueur Matthieu Pâris, fut très dissemblable à son père. Il eut onze enfants de Blanche de Castille, avec laquelle il avait été marié fort jeune ; à sa mort il ne lui restait qu'une fille, qui prit le voile, et cinq fils, à savoir : Louis IX qui lui succéda, Robert, Alphonse, Charles et Jean ; ce dernier ne vécut que quatorze ans : des trois autres sortirent les branches d'Artois, d'Anjou, du Maine, de Provence et de Naples.

02/09/2010

Le pèlerinage de Lisieux 2010 organisé par le prieuré de Gavrus

Grand pèlerinage annuel à Lisieux

Samedi 2 octobre 2010

Vidéo du pèlerinage 2009 à Lisieux
Reportage du pèlerinage 2009 à Lisieux

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Pour vous inscrire cliquer sur l'image ci-dessus

 

Programme

Rassemblement : 10 H 00 à FIRFOL (7 kms nord-est de Lisieux sur Dép. 137).


Automobilistes :
1 - Déposer les pèlerins à Firfol.
2 - Garer sa voiture sur le parking de la Basilique.
3 - Prendre sur place une navette prévue pour les chauffeurs de 9 H 30 à 10 H 15.


Voyageurs ferroviaires :
1 - Départ de Paris St Lazare à 7 H 45, arrivée à Lisieux à 9 H 24.
2 - Navettes prévues depuis la gare SNCF à 10 H 10.


Départ du pèlerinage : 10 H 30


Repas tiré du sac sac vers 12 H 30 à côté de la mairie d’HERMIVAL-LES-VAUX


Messe Saint Pie V à 16 H 00..

 

Pour tout renseignement

La page consacrée au prieuré de Gavrus

Imprimer le tract d'inscription et du programme

Pèlerinage 2010 à Notre-Dame de Liesse pour la conversion des musulmans

Dimanche 26 septembre 2010

Pèlerinage 2010 à Notre-Dame de Liesse pour
la conversion des musulmans à la foi catholique

 

Renseignements

Prieuré Notre-Dame-de-Fatima
3 rue Charles Barbelet
51360 Prunay
Tél. 03 26 61 70 71

Etat des lieux de la chapelle du Cimetière des Martyrs de Vezins

Voici dans quel état se trouve la chapelle du Cimetière des Martyrs, après le saccage de la semaine dernière (photographies du 1er septembre 2010) :

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L'intérieur de la chapelle. 

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Les dalles funéraires brisées.

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L'oratoire derrière la chapelle, dévasté lui aussi. Devant la porte gisent des restes de bancs.

 

 

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L'intérieur de l'oratoire. Au sol, les débris des statues et des ex-voto.

Source : http://guerredevendee.canalblog.com/archives/actualite/in...

01/09/2010

La chapelle du Cimetière des Martyrs de Vezins à nouveau vandalisée

Ce n'est certes pas la première fois que la chapelle du Champ des Martyrs est attaquée. Mais cette fois le vandalisme a atteint des sommets !

C'est un lieu propice au recueillement, perdu au cœur de la forêt de Vezins. Cet isolement l'a, hélas, trop souvent exposé aux dégradations. La dernière en date, en juillet 2008, a visé l'oratoire adossé au dos de la chapelle. Mais aujourd'hui tout l'édifice est dévasté.

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La chapelle en 2008

Un employé municipal, Michel Lefort, a été le premier a découvrir les dégâts au cours de son passage hebdomadaire. La chapelle semble avoir été ravagée par un ouragan. La porte fracassée s'ouvre sur un spectacle de désolation. Derrière, le petit oratoire n'est plus que ruines : vitraux et ex-voto brisés, bancs et prie-Dieu renversés et cassés. Les statues de Cathelineau et de Stofflet, placées trop haut, ont seules été épargnées. La propriétaire du lieu, Madame de Fougeroux, se désole : « Ce vandalisme dure depuis plus de 22 ans ! »

L'enquête de la gendarmerie fait état de nombreuses bouteilles d'alcool trouvées sur place. Mais on ignore encore la date précise des faits qui ont eu lieu entre mardi soir, où une messe avait été célébrée ici, et vendredi.

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Vases à terre, statues renversées, ex-voto lacérés, livre d’or dégradé, vitraux explosés, portes dégondées : c’est le spectacle de désolation qu’a découvert Yzernay en fin de semaine, dans la chapelle et l’oratoire des Martyrs.

Vendredi dernier, en allant relever les poubelles, un employé communal a découvert « un spectacle de désolation » : vases à terre, statues renversées, ex-voto lacérés, livre de requêtes dégradé, vitraux explosés, portes dégondées. Dressé en souvenir d’un massacre de villageois pendant la Révolution par les colonnes infernales, l’oratoire a été spécialement ciblé. Il faut dire que dans la chapelle, après quatre saccages, peu d’objets demeuraient encore debout. Les premiers faits significatifs remontent à avril 1988 : les vitraux avaient été détruits, la statue du général Stofflet décapitée, la crypte profanée (des ossements avaient été éparpillés dans la forêt !!!).

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Le vitrail brisé de l'oratoire (état en 2008)

Comment préserver la chapelle du Cimetière des Martyrs dans ces conditions ? « Il est temps que les cinq communes de la Communauté de Bocage prennent conscience que cette chapelle fait partie du patrimoine local, conclut Madame de Fougeroux. Il y a des initiatives à prendre pour protéger ce lieu de mémoire. »

Sources : http://guerredevendee.canalblog.com/archives/actualite/in...

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Yzernay-des-l...