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29/06/2011

La Troupe des coeurs de Chouans

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21/06/2011

Le site VIVE LE ROY !

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Le site bibliothèque Vive le Roy, école de la légitimité.

 

Après avoir mis en ligne plusieurs conférences données à l'occasion des universités d’été légitimistes, le site Vive le Roy a élargi ses sources pour inviter légitimistes et non-légitimistes à réfléchir sur les enjeux essentiels de notre civilisation. 

Plusieurs rédacteurs de ce site sont membres de L'UCLF, mouvement légitimiste qui s’attache à promouvoir la France royale.

Loin du trio infernal des idéologies post 1789 ( socialisme, nationalisme et libéralisme) qui polluent la pensée moderne et aveuglent les esprits par les passions qu’elles suscitent, l’UCLF prône :

 

  • le droit naturel et chrétien,
  • la société organique (composée de corps intermédiaires) avec pour tête le roi (qui ne saurait aller contre l’intérêt du reste de ce corps),
  • la restauration d’une véritable autorité politique, l’autorité du roi, que Bossuet qualifiait très justement de paternelle,
  • la reconnaissance du Christ-Roi comme elle a toujours existé institutionnellement lors de la cérémonie du sacre.

 

L'équipe de rédaction du site Légitimité française infos, recommande vivement à ses lecteurs soucieux de découvrir la pensée légitimiste, d'étudier les articles mis en ligne sur Vive le Roy.

 

Cliquez sur le lien ci dessous pour accéder à VLR :

 

http://www.viveleroy.fr/ 

 

10/06/2011

XXIème UNIVERSITÉ D’ÉTÉ SAINT-LOUIS

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08/06/2011

Le 28 mai 2011 restera dans les annales Légitimistes !

fête légitmistes, uclf, imb, yannick essertel, louis-edgard du bouexic, conférence, éditions de chiré, joyeuse garde, marquise de nobletBourg en Bresse, modeste capitale de la Bresse, cette petite province sous triple influence du Lyonnais de la Bourgogne et de la Savoie, était, ce jour-là, un peu la capitale de la France... De la France réelle en tout cas ! Se tenait, là et ce jour-là, en effet, la première édition de la "Grande Fête Catholique et Légitimiste du Lyonnais et de la Bourgogne". 

fête légitmiste,uclf,imb,yannick essertel,louis-edgard du bouexic,conférence,éditions de chiré,joyeuse garde,marquise de nobletCette fête était organisée par l'Union Légitimiste du Lyonnais et de la Bourgogne qui est constituée de l'association PSB en Lyonnais, Forez et Beaujolais, à laquelle est réunie le Cercle Ste-Jehanne de France de la Clayette (71), et la Fédération Légitmiste des Trois Provinces, composée des Cercles UCLF de Lyon, Dijon et Bourg-en-Bresse.

fête légitmiste, uclf, imb, yannick essertel, louis-edgard du bouexic, conférence, éditions de chiré, joyeuse garde, marquise de nobletCe fût, en tous points un succès. En effet, près de 200 personnes s'y sont retrouvés et aux "locaux" s'étaient joints une importante délégation de l'IMB et des représentants de Cercles UCLF venus d'Anjou, du Béarn, de Bretagne, d'Alsace, de Lorraine, de Paris...

fête légitmiste, uclf, imb, yannick essertel, louis-edgard du bouexic, conférence, éditions de chiré, joyeuse garde, marquise de nobletDes stands nombreux proposaient des articles royalistes ou des produits du terroir. M et Mme d'Hautefeuille avaient fait spécialement le déplacement depuis Chiré pour présenter un état d'ouvrages particulièrement fourni. deux artistes peintres exposaient leurs oeuvres : la Marquise de Noblet et Mademoiselle Boyard. Le frère Maximilien ouvrit la journée en plaçant l'assistance sous la protection du Saint-Esprit.

 

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"L'impossible bonne république".

 

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Lors de son intervention Louis-Edgard du Bouexic démontra définitivement qu'un système intrisèquement pervers (la révolution et ses modalités démocratiques) est irréformable de l'intérieur.

fête légitmistes, uclf, imb, yannick essertel, louis-edgard du bouexic, conférence, éditions de chiré, joyeuse garde, marquise de nobletPrésentant une de ses oeuvres qui alliat être proposée aux "enchères", Madame la marquise de Noblet expliqua comment l'art contemporain n'était pas une imposture innocente ou opportuniste mais bien un projet de déstructuration de l'esprit par la perte de toutes références au vrai et au beau.

 

 

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Le second conférencier prévu ayant été retenu pour des motifs familiaux, Yannick Essertel voulut bien, "au pied levé", captiver son auditoire en évoquant la vraie nature du pouvoir royal. Le Roi exerçait, certes, un pouvoir absolu, mais loin d'être une dictature, ce pouvoir était limité, notamment par les Lois Fondamentales qui constituaient une véritable Constitution inviolable.

fête légitmiste, uclf, imb, yannick essertel, louis-edgard du bouexic, conférence, éditions de chiré, joyeuse garde, marquise de nobletTout au cours de la journée, la "Joyeuse Garde", avec ses choristes sanglés des uniformes de tradition, interpréta des chants de France, repris en choeur par l'assistance. 

 

 

A Dieu et à l'Année prochaine à vous tous, accompagnés de vos amis, pour la "Grande Fête Catholique et Légitimiste du Lyonnais et de la Bourgogne" de 2012 !

 

Cliquez ici pour consulter l'article sur le site de l'UCLF :

http://www.uclf.org/page41.html

8 juin 2011 : 216ème anniversaire de la mort de Louis XVII

8 juin 1795 : mort du Roy Louis XVII

 

Louis_Charles_of_France3.jpgLouis-Charles de France (Versailles, 27 mars 1785 – Paris, 8 juin 1795), second fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette, duc de Normandie, Dauphin de France à partir de 1789. Après la mort de son père, en 1793, et suivant l'ordre dynastique, il fut reconnu comme héritier de la couronne de France sous le nom de Louis XVII par les puissances coalisées et par son oncle, futur Louis XVIII Il mourut à la prison du Temple en 1795, à l'âge de dix ans.

 

Voici le texte intégral de son acte de baptême :

 

L'an mil sept cent quatre-vingt cinq, le vingt-sept mars, Louis Charles de France né de ce jour, fils de très haut, très puissant et très excellent prince Louis Auguste, Roi de France et de Navarre, et de très haute, très puissante et très excellente princesse Marie Antoinette Josèphe Jeanne, archiduchesse d'Autriche, Reine de France et de Navarre, son épouse, a été baptisé dans la Chapelle du Roi par Monseigneur le Prince Louis René Édouard, cardinal de la Sainte Église, évêque et prince de Strasbourg, land-grave d'Alsace, prince d'État d'Empire, Grand aumônier de France, Commandeur de l'Ordre du Saint-Esprit, en présence de nous soussigné Curé, le parrain a été très haut et très puissant Prince Louis Stanislas Xavier de France, Monsieur, frère du Roi, et la marraine très haute, très puissante et très excellente princesse Marie Charlotte Louise de Lorraine, archiduchesse d'Autriche, Reine des Deux-Siciles, sœur de la Reine, représentée par très haute et très puissante princesse Élisabeth Philippine Marie Hélène de France, sœur du Roi, en présence de Sa Majesté, et ont signé.

[Registre des baptêmes (1785) de l'église Notre-Dame de Versailles]

 

Enfance

 

En tant que deuxième fils de Louis XVI, Louis-Charles de France n'est donc pas destiné, à sa naissance, à succéder à son père, mais la mort de tuberculose osseuse - mal de Pott - de son frère aîné Louis de France le 4 juin 1789 en fait le Dauphin de France

 

Il passe sa première enfance à Versailles, entouré d'une nombreuse Maison, comprenant de très nombreux serviteurs attachés à sa personne, parmi lesquels Agathe de Rambaud, sa berceuse, Louise-Élisabeth de Croÿ de Tourzel comme gouvernante et Jean-Baptiste Cant Hanet dit Cléry, son valet.

 

474px-Louis_Charles_of_France5.jpgAprès la journée du 10 août 1792, Louis-Charles est emprisonné avec ses parents à la Prison du Temple. Confié plus particulièrement à la garde de son père, celui-ci poursuit son éducation avant d'en être séparé, lorsque le roi est exécuté, au matin du 21 janvier 1793.

 

La vie au Temple

 

En vertu des lois fondamentales du royaume, Louis-Charles succède à son père, guillotiné le 21 janvier 1793.

 

Sous le nom de Louis XVII, il est reconnu comme tel par Monsieur, frère cadet de Louis XVI et futur Louis XVIII, alors émigré à Hamm, près de Düsseldorf en Westphalie. L'impératrice Catherine II de Russie fit même chasser de son royaume tous les Français ne reconnaissant pas la légitimité du petit roi. Les Vendéens et les Chouans, mais aussi de fidèles royalistes dans d'autres provinces, se battirent et moururent en son nom. Leurs étendards portaient l'inscription : «Vive Louis XVII».

 

Le jeune Louis XVII est confié à sa mère, également emprisonnée au Temple, jusqu'au 3 juillet 1793. Après cette date, il est enlevé à sa mère et mis sous la garde du cordonnier Antoine Simon et de sa femme, qui résident au Temple. Le but est alors d'en faire un petit citoyen ordinaire et de lui faire oublier sa condition royale.

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L’emmurement et l’agonie

Malgré tout ce que Louis avait déjà subi, le pire n’arriva que le 19 janvier 1794, lorsque la Convention décida qu’elle avait assez perdu de temps avec le petit roi. Commence alors la période de l’emmurement, qui durera six mois. Le jeune roi, qui va sur ses neuf ans, est jeté au fond de sa chambre, dont on condamne la porte. Pendant six mois sans interruption, il vivra dans cette pièce minuscule, où n’entre pas même la lumière du jour puisque la fenêtre, comme la porte, est condamnée. La nourriture lui est passée à travers un guichet. Aucun accès au cabinet d’aisance : l’enfant, qui est déjà malade, va vivre pendant six mois au milieu de ses déjections. Il n’a ni visite, ni lumière, ni livre, ni jouet pour se distraire. Terrorisé, malade, rejeté de tous, écrasé par le chagrin, il est sur le point de mourir d’inanition lorsque Robespierre est renversé le 28 juillet 1794 (9 thermidor). Le soir même, Barras, nouvel homme fort du régime, se rend à la prison du Temple et fait sortir l’enfant de son isolement. Louis-Charles est dans un état qui dépasse l’imagination. Sa seule parole, lorsque ses nouveaux geôliers ouvrent enfin la porte de sa cellule après six mois d’isolement, est pour leur dire qu’il voudrait mourir.

Il faudra pourtant attendre encore un mois pour que ses gardiens le lavent, le soignent, lui coupent les cheveux et les ongles, l’habillent de linge frais et nettoient sa chambre de fond en comble. Trois gardiens se succéderont d’ici la mort de l’enfant : Christophe Laurent, Jean-Baptiste Gomin et Etienne Lasne. Ces hommes se montrèrent humains et firent de leur mieux, dans la mesure de leurs maigres moyens, pour adoucir le sort de l’enfant royal et le distraire un peu. Mais Louis-Charles est au-delà de cela désormais : en état de catalepsie, tuberculeux au dernier degré, il n’a plus aucune force et ne parle presque jamais, sauf pour donner des réponses très brèves que ses gardiens doivent lui soutirer avec insistance. Il ne gémit même pas de douleur, alors que ses poignets et ses genoux sont noués par une arthrose tuberculeuse qui le fait terriblement souffrir. Il a bien trop peur des hommes désormais pour leur faire confiance, et seules les cajoleries d’une mère pourraient peut-être l’aider à sortir de son silence.

Et justement, toutes les pensées de l’enfant vont vers sa mère. Il ignore que Marie-Antoinette a été guillotinée le 16 octobre 1793, et pense qu’elle est toujours enfermée au troisième étage de la tour. Un jour, rassemblant ses dernières forces et ses dernières volontés, l’enfant moribond, qui ne parle presque jamais, demande à Gomin de le laisser revoir sa mère une dernière fois avant de mourir. Une requête que le gardien ne peut évidemment accorder.

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Une semaine plus tard, le garçon entre dans le dernier tournant de son agonie. Il ne lui reste plus que deux jours à vivre, et c’est alors, et seulement alors, que le médecin décide de le tirer de son cachot pour l’allonger dans une belle chambre bleue, illuminée par le soleil, à l’autre bout du bâtiment. Louis-Charles a l’air de s’y remettre, mais au matin du dernier jour, son mal a tant empiré qu’il en devient intransportable. Veillé par Gomin et Lasne, le petit garçon souffre terriblement. Sa maladie a en effet dégénéré en péritonite tuberculeuse. Délirant de fièvre, il croit entendre sa mère chanter. Retrouvant un ultime éclair de joie, il se redresse, tire sur le bras de son gardien, se penche pour lui faire une confidence... et meurt dans ses bras.

 En ce 8 juin 1795, le petit martyr s’en est allé. Il avait dix ans, deux mois et douze jours.

louis xvii,mort,prison du temple,8 juin 1795

 

Sources :

- Wikipédia ;

- L’excellent site « Louis XVII, Roi, enfant et martyr » de notre ami Pierre.

 

 

louis xvii,mort,prison du temple,8 juin 1795

 

05/06/2011

Chronique de la Légitimité en Auvergne

L'équipe d'administration de Légitimité Française infos, à l'honneur de vous faire part de la naissance du site légitimiste

Velay-o-Vivarais-Royal.

  

Velay-o-Vivarais-Royal

 

Nous souhaitons la bienvenue et un franc succès à ce nouveau site légitimiste sur la toile. Tous nos meilleurs voeux de prospérité  à l'Auvergne !

Merci de cliquer sur le lien ci-dessous, pour la visite :

http://velay-o-vivarais-royal.blog.fr/

fleurs de lys

 

03/06/2011

MONARCHIE INFO du 03/06/2011

fête légitimiste




  Franc succès de la "Grande Fête catholique et légitimiste du Lyonnais et de la Bourgogne",
le 28 mai dernier à Bourg-en-Bresse !

L'Union Légitimiste du Lyonnais et de la Bourgogne,
composée, du côté UCLF, par la Fédération Légitimiste des Trois Provinces (Bourgogne, Bresse, Lyonnais)
et, du côté PSB, par le Cercle de Lyon et le Cercle Ste-Jehanne de France (St-Racho),
a rassemblé près de deux cents personnes. Plusieurs autres associations et cercles avaient envoyé des délégations.

Des conférences (Louis-Edgard du Bouexic, Yannick Essertel), d'un très haut niveau.
Des stands bien fournis.
 


Des chants particulièrement bien interprétés.
La présence de plusieurs personnalités du monde légitimiste : IMB, UCLF, PSB. 


Une ambiance particulièrement chaleureuse.

Très prochainement le compte-rendu détaillé de cette journée et des photos
sur les sites de l'IMB, de l'UCLF et de PSB Lyon. 

 

Ne manquez pas de visiter les sites Internet de l'IMB et de l'UCLF.


http://www.royaute.org

http://www.uclf.org
http://www.cercle-henri4.com
http://www.viveleroy.fr
http://beaudricourt.hautetfort.com