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27/07/2011

XXIème Université d’été Saint-Louis

22, 23 et 24 juillet 2011 : XXIème Université d’été Saint-Louis

110722a.jpgCe sont près de cinquante personnes qui se sont retrouvées,

ces 22, 23 et 24 juillet,
au bord du Lac de Maine, près d’Angers,
pour participer à la


XXIème Université d’été Saint-Louis
« La monarchie, modèle de l’harmonie sociale
 »

organisée en partenariat :
INSTITUT DE LA MAISON DE BOUBON
UNION DES CERCLES LÉGITIMISTES DE FRANCE

 Pour commencer,
la visite du château d’Angers
permettait de faire connaissance
et d’admirer, entre autres,
la splendide
tapisserie de l’Apocalypse.

 
Il revenait à Christian Dumazel d’ouvrir le feu et de
« Proposer des solutions novatrices dans la lignée des royalistes sociaux ».
Ce qu’il fit en soulignant que si, en particulier, les conditions économiques avaient évolué depuis le XIXème siècle, les principes demeuraient.
Après un temps libre, l’on se retrouvait pour un dîner fort convivial, au cours duquel de nombreuses idées étaient échangées.
 
En l’absence de Christophe Réveillard, Dominique Coudé débutait la matinée du samedi en montrant combien la politique religieuse de la Restauration avait, quoiqu’on en dise, rétabli la religion catholique dans nombre de ses droits et contribué, ainsi, à l’harmonie sociale.

110723a.jpgPuis, Christophe Jankowiak, docteur en histoire du droit, attestait que les « lois fondamentales du Royaume » avait bien été un
« gage de stabilité sociale » pendant plus de huit siècles.
 
Après le déjeuner, l’après-midi de ce samedi se poursuivait par une visite du domaine viticole de Savennières, visite qui se terminait par une dégustation fort appréciée.

Il revenait, alors, à Philippe Pichot-Bravard, Docteur en histoire du droit, de sortir son auditoire de l’œnologie et lui faire toucher du doigt « l’équilibre de la monarchie tempérée d’ancien régime »
 
110724a.jpgPhilippe Montillet prenait la relève, décrivait la société rurale ancienne et montrait, d’une part, qu’elle avait subsisté, çà et là, jusqu’à une période récente et d’autre part, qu’elle était pleine d’enseignement pour l’avenir.
 
Après la messe dominicale, en l’absence de Jean-Pierre Brancourt, Louis-Edgard de Pinieux passionnait son auditoire grâce à sa conférence, initialement prévue l’après-midi :
« De Louis Veuillot à Georges Bidault : l’indifférence politique au service de la lutte des classes ».
 
110724b.jpgMarc Faoudel et Jacques Savéan clôturaient cette université sur un sujet fort vaste et combien intéressant :
« Nationalisme intégral : solution ou impasse ? »

Chacun se donnait, alors, rendez-vous pour l’Université d’été
Saint-Louis 2012 (du 21 au 29 juillet), dont le thème est déjà fixé :
« La monarchie, aussi un enjeu culturel ».
 
Source :
 
 

21/07/2011

Fête de la St-Louis en Anjou - Programme

Jeudi 25 et vendredi 26 août 2011 :

Fête de la Saint-Louis en Anjou

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St-Louis2a2.png

St-Louis2b.PNG

saint-louis,anjou,imb,août 2011

16/07/2011

Nouveau Forum Légitimiste

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L’équipe de ce nouveau forum adhére sans restriction à la pensée légitimiste traditionnelle, telle qu'elle est défendue et promue par l'U.C.L.F.

Son but est de faire connaître les Cercles UCLF de nos provinces, faciliter les contacts entre les légitimistes. Entretenir les échanges, produire des amitiés et des relations sincères.

Venez vous inscrire et participer au Forum Légitimiste :

http://royaume-de-france.clicforum.com/index.php

13/07/2011

Les dessous de la Bastille

Les dessous de la Bastille

bastille_1.jpg

Glorieuse, la prise de la Bastille ? Pas tant que ça... D’ailleurs, le 14 juillet n’a été choisi comme fête nationale qu’environ cent ans plus tard, en 1880, et la date a été largement discutée : les députés et les sénateurs ont proposé aussi bien le 4 août que le 5 mai que le 21 septembre, etc. et le 14 juillet ne l’emporte que de peu.

La Bastille : du mythe à la réalité

« Le matin fut lumineux et d’une sérénité terrible, écrira Michelet : Une idée se leva sur Paris avec le jour, et tous virent la même lumière. Une lumière dans les esprits et dans chaque cœur une voix : Va et tu prendras la Bastille ! ».
La prise de la Bastille est devenue dans les livres scolaires de la IIIe République le symbole de la victoire du peuple sur la « tyrannie ». En effet, chacun comprendra qu’il est toujours dans l’intérêt de ceux qui ont pris le pouvoir en 1789 de masquer leur propre violence et l’arbitraire sur lesquels ils ont assis leur domination. Se fabriquant ainsi leurs propres mythes fondateurs…  

La Bastille : sa réalité à la veille du 14 juillet

En 1789, il y avait déjà longtemps que la Bastille ne servait plus guère. On envisageait même de supprimer cette forteresse trop coûteuse.

Quand la Bastille est prise le 14 juillet, elle ne détient dans ses geôles que sept prisonniers : des fous, un faussaire et quelques personnes si peu recommandables qu’il est bien difficile de se glorifier de leur libération. Sept détenus c’était vraiment peu… Michel Winoch le déplorait, en ajoutant que la réalité n’a pas besoin de coïncider avec les idées reçues, les faux bruits ou les imaginations. De plus à la fin du XVIIIème siècle, le traitement des prisonniers à la Bastille était décent, mais pour légitimer l’émeute, les révolutionnaires  voulaient faire de la Bastille un engin de torture horrifique et injuste…

Le 14 juillet : on marche d’abord sur les Invalides, pas sur la Bastille

Au matin du 14 juillet, les émeutiers se dirigent vers les invalides. Ils exigent des armes demandées la veille, et comme le gouverneur, Sombreuil, avait voulu négocier, ils profitent de l’ouverture de la porte pour s’engouffrer et piller les fusils qui se trouvaient là, des canons et un mortier.
Et voilà donc les émeutiers en marche vers la forteresse.

Sur place, le dérapage...

Launay.jpg

 

Les émeutiers n’avaient pas rencontré d’opposition aux Invalides. Mais, à la Bastille, le gouverneur, Bernard de Launay, s’affole en voyant la foule approcher. Ses ordres sont contradictoires. Il envisage même de faire sauter le stock de poudre pour éviter qu’on ne s’en empare. Puis il tente de négocier. Enfin finalement, il laisse entrer les émeutiers dans les cours de la forteresse…

L’épisode qui suit est tristement célèbre : Launay est entrainé vers l’Hôtel de ville, harcelé de coups, finalement massacré au sabre. Sa tête, coupée au couteau par l’aide-cuisinier Desnot, est promené au bout d’un pique dans tout Paris, bientôt accompagné du prévôt des marchands. Flesselles, que l’on assassina dans la foulée. On but le sang des malheureuses victimes : « Acte d’un goût douteux, conclut le professeur Jean Tulard, mais qui va se généraliser durant les années suivantes et de devenir une forme de « civilité » révolutionnaire pour les victimes de marque ».

CONCLUSION :

 

 

La conclusion qu’inspire ce récit, pourtant résumé des événements est que, contrairement à une légende tenace, la Bastille n’a pas été prise d’assaut, mais elle s’est rendue. Autrefois les livres scolaires, aujourd’hui les encyclopédies ont diffusé et diffusent encore abondamment les images fortes d’un peuple vigoureux et courageux, faisant tomber par la seule force de son ardeur, l’une des plus puissantes forteresses médiévales. Et ainsi, de pierre en pierre, va se construire une nouvelle Bastille celle du « mythe ».

 

FETERA-T-ON LE TRICENTENAIRE DE LA REVOLUTION ?

Contester le mythe révolutionnaire, comme s’y emploient les historiens actuels, délégitimer la Terreur, c’est ruiner le présupposé ancien selon lequel les progrès sociaux s’obtiendraient par la violence. Conduite au nom du peuple, la Révolution s’est effectuée sans le consentement du peuple, et souvent même contre le peuple. Le bicentenaire n’a pas vraiment commémoré 1789, mais plutôt exalté l’idée que la France de 1989, du moins celle qui est au pouvoir, se fait d’elle-même…

Quittons l’histoire pour le champ de la prospective. Au rythme ou vont les choses… Que réserve 2089 ? Si la logique communautariste qui prévaut aujourd’hui n’a pas été renversée. Et que les Musulmans seront devenus majoritaire dans le pays. Pouvons sérieusement imaginer un seul instant ces nouveaux « Musulmans de France » célébrer 1789 ? Quant on sait que la pensée révolutionnaire ne s’accorde pas avec l’anthropologie exprimée par les textes sacrés de l’islam. Quelle signification pourrait revêtir pour eux en 2089 la commémoration de la révolution « française » ?   

L’histoire n’étant jamais écrite d’avance, et l’histoire de France ayant toujours réservé d’étonnantes et miraculeuses surprises. On ne peut s’empêcher d’imaginer, et d’espérer voir sur notre sol un retour en force de la Foi catholique. Certes il faudrait alors tout reconstruire, ces nouveaux chrétiens auront certainement donc d’autres urgences que de célébrer ou de contester le tricentenaire de 1789…

(Article proposé par Madame Charlène Courtois).

 

Source :

http://beaudricourt.hautetfort.com/archive/2009/07/20/les...

11/07/2011

Fête de la Saint Louis en Anjou

Jeudi 25 et Vendredi 26 août 2011 :

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Baugé (Présentation de la relique de la Croix du Christ), visite des Châteaux de Montgeoffroy (XVIIIème), Brissac (XVème), Le Plessis-Bourré (XVème), appartenant au Duc de Dalmatie, Serrant, appartenant au prince de Mérode.

Source :

http://www.royaute.org/page40.html