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31/08/2012

MONARCHIE INFO

100e pèlerinage légitimiste à Ste-Anne d'Auray
Samedi 15 et dimanche 16 septembre 2012

Nous rappelons que l'essentiel des animations du pèlerinage sera assuré par La Troupe des Coeurs de Chouans.


Programme

  Samedi 15 septembre  
  Circuit de visites  
  14h20 : Regroupement des participants (parkings cars : rue de Pluvigner à Ste-Anne)
  14h30 : Départ en cars pour le Champ des Martyrs, la Chartreuse, Kerléano, le Fort Penthièvre à Quiberon
  18h00 : Retour
  19h00 : Dîner à Ste-Anne d'Auray, veillée [facultatifs]
  21h30 : Clôture
  Dimanche 16 septembre  
  Option n° 1  
  07h30 : Marche du pèlerinage [Champ des Martyrs (Brec'h) - Ste-Anne]
  Option n° 2  
  09h30 : Visites guidées du sanctuaire et stands (librairie, souvenirs religieux, légitimistes et bretons)
  Options n° 1 et 2  
  11h15 : Dépôt de gerbes au monument du Comte de Chambord
  11h20 : Allocutions
  13h00 : Grand-messe en la basilique (rit tridentin) - Renouvellement de la consécration de l'UCLF et des autres associations présentes au Sacré-Cœur
  14h30 : Repas salle du sanctuaire - Stands (librairie, souvenirs religieux, légitimistes et bretons)
  16h00 : Animations
  17h30 : Clôture

Renseignements
Courriel : pelerinage100@yahoo.fr - Tél. : 06 25 51 79 45 / 06 32 05 07 02
Fédération Bretonne Légitimiste (FBL) - BP 10307  35703 Rennes cedex 7

Télécharger
le numéro spécial de La Gazette Royale (consacré au pèlerinage) contenant le bulletin d'inscription
Télécharger le bulletin d'inscription seul

29/08/2012

Martyre de St Jean-Baptiste (Ier s.) - Mémoire

DÉCOLLATION de
SAINT JEAN-BAPTISTE

 

Tiepolo_The_Beheading_of_John_the_Baptist.jpg


Saint Jean-Baptiste, inspiré par l'Esprit de Dieu, se retira au désert pour mieux conserver son innocence et cultiver les dons extraordinaires dont il avait été favorisé. Il y vécut, depuis son enfance jusqu'à trente ans, dans la pénitence, la prière et la contemplation. Sa trentième année, il parut dans le monde pour y prêcher la pénitence et donner le baptême, qui en était le signe, d'où lui est venu le nom de Baptiste ou Baptiseur.

Déjà le Sauveur lui-même avait reçu le baptême des mains de Jean-Baptiste, et celui-ci avait rendu à l'Agneau de Dieu les plus glorieux témoignages. La vie du saint Précurseur touchait à son terme ; il ne lui restait plus qu'à sceller de son sang la divinité de sa mission. Hérode, gouverneur de la Galilée, menait une vie irrégulière avec Hérodiade, sa belle-sœur ; saint Jean, à différentes reprises, blâma avec force un pareil scandale ; aussi Hérodiade cherchait-elle l'occasion de se venger.

Depuis trois mois déjà, le courageux défenseur de la vertu était en prison ; mais cette vengeance ne suffisait pas à une femme voluptueuse et cruelle. Un jour qu'Hérode, pour célébrer l'anniversaire de sa naissance, donnait un festin à tous les grands de sa cour, Salomé, fille d'Hérodiade, dansa devant le prince avec tant de grâce, qu'Hérode s'engagea par serment à lui donner tout ce qu'elle demanderait, fût-ce la moitié de son royaume. La jeune fille sortit et courut raconter à sa mère la promesse dont elle venait d'être l'objet : « Que dois-je demander ? dit-elle à Hérodiade. - Demande la tête de Jean-Baptiste » répond la haineuse femme. Salomé vint aussitôt annoncer à Hérode le choix qu'elle avait fait. Hérode était plus corrompu que cruel ; il regretta sa promesse, il fut attristé de la demande ; mais il mit un fatal point d'honneur à ne pas manquer à sa parole devant toute l'assistance, et il envoya un garde trancher la tête de Jean-Baptiste ; celui-ci vint présenter à la princesse, dans un bassin, la tête du martyr, qu'elle alla aussitôt montrer à sa mère. Quand cette nouvelle fut annoncée à Jésus, qui la connaissait déjà par sa science divine, il manifesta une profonde douleur.

Le crime ne resta pas impuni, car Hérode, vaincu par ses ennemis, perdit sa couronne et périt misérablement. La fin d'Hérodiade et de sa fille ne fut pas plus heureuse. Il est à remarquer que la plupart de ceux qui ont joué un rôle odieux, dans l'Évangile, ont subi dès cette vie le châtiment de leur impiété et de leurs crimes.

Source :

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&...

25/08/2012

Présentation des Princes


24/08/2012

La disparition du comte de Chambord

comte.jpegLe 24 août 1883 marquait la mort d’Henri V comte de Chambord, successeur direct de Charles X. Selon les Lois Fondamentales du Royaume, la Couronne passait à la branche aînée d’Anjou, mais la branche cadette d’Orléans, s’appuyant sur un très révolutionnaire principe des nationalités, réussit à rallier la majorité des légitimistes. Cet œcuménisme politique entre un légitimisme traditionnel et un orléanisme d’essence libérale ne devait échouer qu’à former le bloc conservateur de la IIIe République. Pire, "l’effacement du légitimisme intransigeant ne laissait plus subsister en France (y compris chez les monarchistes) que des traditions révolutionnaires."

Un prince calomnié : le Comte de Chambord

Le 24 août 1883 mourait à Frohsdorf en exil volontaire et digne, après un long "règne moral" de près de quarante ans, le Comte de Chambord, Henri V.

Prince calomnié, encore mal connu ou méconnu, il fut victime de la propagande républicaine, hostile à toute formule monarchique, et, plus encore peut-être, des orléanistes, ces monarchistes libéraux qui avaient usurpé le trône de son grand-père Charles X en 1830.

Prendre possession de la légitimité au moyen de M. le Comte de Chambord et s’assurer ainsi sa succession, imposer au petit-fils de Charles X des conditions qu’il ne pouvait accepter, ou, s’il les subissait, qui rendraient son maintien impossible sur le trône ; l’amener ainsi à une abdication avant ou après : tel avait été, dès le principe, le plan aussi astucieusement conçu qu’habilement suivi par les principaux chefs du groupe orléaniste libéral, et dont quantité d’honnêtes royalistes furent les coopérateurs, pour ne pas dire les complices inconscients.

(Arthur LOTH, L’échec de la restauration monarchique en 1873, Paris, 1910, p. 525.)

On a ainsi volé au Comte de Chambord non seulement ce règne "réparateur et fort" qu’il ambitionnait, mais l’intelligence de sa vie et une partie de sa mort, — en tout cas sa succession politique.

Source Vive le Roy :

http://www.viveleroy.fr/De-la-fusion-orleaniste,135.html

14/08/2012

Histoire du pèlerinage légitimiste

56263_3_photo3_g_photo_s__anne_auray__082241800_1851_03062012.jpgC’est en 1624 que, dans le modeste hameau appelé alors Keranna, sainte Anne, patronne de la Bretagne, apparaît à un humble paysan, Nicolazic, pour lui demander qu’y soit reconstruite la chapelle qui lui était jadis dédiée.

Un lien s’instaure, presque immédiatement, entre la famille royale française et cette petite ville devenue Sainte-Anne d’Auray, dans le diocèse de Vannes.

En 1628, la reine Anne d’Autriche demande d’y faire des prières publiques pour obtenir un héritier et, en 1639, le roi Louis XIII, en remerciements pour la naissance du futur Louis XIV, y fait don d’une relique de sainte Anne.

C’est, dès lors, une tradition, dans la Maison de France de recommander à sainte Anne, la naissance des princes. La Grande Dauphine, le duc d’Angoulême, la duchesse d’Angoulême, la duchesse de Berry, … ont, par leurs visites, témoigné de cette fidélité, enrichissant chaque fois le Trésor de la basilique. En 1795, alors que les révolutionnaires occupent lepays,des rassemblements ont lieu à quelques kilomètres de Saint-Anne, au Champ des Martyrs, là où Hoche a laissé fusiller quelques cinq cents prisonniers auxquels, pour hâter la reddition de Quiberon, il avait promis la vie sauve.

En 1815, après le retour des Bourbons, les rassemblements se font autant à Sainte-Anne qu’au Champ des Martyrs.

Le 2 juin 1844, en exil à Göritz, le duc de Bordeaux succède à son oncle Louis XIX. Il n’a que vingt-quatre ans et les légitimistes, durement éprouvés par les persécutions de la Monarchie de Juillet, reprennent espoir. Plusieurs d’entre eux se sont donné rendez-vous à Ste-Anne d’Auray, le dimanche 29 septembre suivant, pour prier à l’intention du jeune roi, dont c’est le jour anniversaire. La démarche se systématise. Un pèlerinage est né !

Par ailleurs, au plan religieux, Sainte-Anne d’Auray est, aujourd’hui, avec près de 700 000 pèlerins annuels, le premier lieu de pèlerinage breton. Le pape Jean-Paul II a bien voulu l’honorer d’une longue visite en 1996. 

 

Ste-Anne d’Auray et la Famille royale de France

 

istock-000006070706xsmall-basilique-st-anne-auray.jpgLe sanctuaire de Sainte-Anne conserve les témoignages précieux de la piété de l’auguste Maison de France.

Dès 1628, la reine Anne d’Autriche demande de faire à Ste-Anne des prières publiques et quotidiennes pour obtenir un héritier au trône.

En 1638, elle obtient du pape Urbain VIII l’érection d’une Confrérie royale de saine Anne « en sa chapelle près d’Auray ». Sur les registres de la confrérie, où la reine s’inscrit en première, s’alignent les noms de la plupart des Grands du royaume.

En 1639, Louis XIII, en remerciements pour la naissance du futur Louis XIV, donne un riche reliquaire.

En 1644, Henriette de France, reine d’Angleterre, vient accomplir un voeu. Elle peut s’entretenir avec le voyant, Yves Nicolazic et laisse à la chapelle une croix d’or enrichie de diamants.

En 1814, c’est au nom du roi Louis XVIII que le duc d’Angoulême visite la petite cité. La duchesse d’Angoulême offre un ostensoir en vermeil et, en 1823, elle vient elle-même prier la mère de Marie. La duchesse de Berry la suit quelques années plus tard et laisse au sanctuaire une lampe en argent. La comtesse de Chambord ne faillit pas à la tradition. Elle faitdon à la basilique d’une chasuble qu’elle a, elle-même, brodée.

 

Source : Gazette Royale, cliquez sur le lien ci dessous pour télécharger gratuitement le numéro spécial édité à l'occasion du pèlerinage contenant le bulletin d'inscription. 

 

http://documents.uclf.org/NS2012.pdf

09/08/2012

La pensée politique d'Ernest Renan

logo-355ae07.jpgUn auteur qui n'est pas vraiment des nôtres ! En raison de son livre de 1863 intitulé "Vie de Jésus", dans lequel il développe sa thèse bien évidemment hérétique, niant la divinité du Christ.

La Gazette Royale, organe de presse légitimiste de l'UCLF, a édité dans son dernier numéro une étude de 12 pages sur la vie de Renan (1823-1892), pour mieux comprendre le cheminement politique de ce personnage. Et notamment ce qui peut nous séduire dans sa pensée, c'est à dire sa critique de la démocratie que l'on peut découvrir dans son livre "La réforme intellectuelle et morale de la France". Ouvrage dans lequel Renan tente de donner une solution au problème politique français posé depuis la chute de la royauté...

renan.jpgCitations :

"Le jour où la France a coupé la tête de son roi, elle a commis un suicide".

"Un de plus mauvais résultats de la démocratie est de faire de la chose publique la proie d'une classe de politiciens médiocres et jaloux, naturellement peu respectés de la foule, qui a vu son mandataire d'aujourd'hui humilié hier devant elle, et qui sait par quel charlatanisme on a surpris son suffrage."

 
Ernest Renan : "La réforme intellectuelle et morale de la France


Dans ce dossier proposé par l'Union des Cercles Légitimistes de France, le lecteur trouvera des réponses aux questions suivantes :

- Renan a-t-il été lu par les Royalistes de son temps ?

- Renan pouvait-il être écouté des Royalistes ?

- Quelle a été la portée de la pensée de Renan dans la vie politique française du XXème siècle ?

fleur-de-lys_500.jpg

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07/08/2012

Le duc d'Anjou et sa famille en vacances

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http://royaume-de-france.clicforum.com/t823-Le-duc-d-anjou-et-sa-famille-en-vacances.htm#p7550