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25/09/2010

Reportage photos du pèlerinage 2010 à Domrémy

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La Messe solennelle, célébrée par M. l’abbé Claude Boivin, premier assistant du District de France,
qu’entourent les abbés Turpault, diacre, et de Pluvié, sous-diacre,
tandis que l’abbé Rousseau dirige la foule de pèlerins.

Sainte Jeanne d'Arc honorée

 

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Le grand événement de ce mois-ci est le pèlerinage de Domrémy, qui fut des plus beaux cette année : le dimanche 19 septembre.

La Providence nous avait retenu un temps de toute beauté pour cette marche de quinze kilomètres autour de Domrémy. Sous un ciel azuréen, les pèlerins ont parcouru ces terres familières à notre sainte lorraine, ont pu méditer, chanter et prier avec le concours des garçons de l’Étoile du Matin, présents cette année.

Après une bonne matinée de marche, les pèlerins ont pu se reposer et se revigorer lors d’un pique-nique champêtre des plus agréables.

Après les derniers kilomètres, les cinq cents pèlerins purent remplir la basilique du Bois-Chenu pour assister à une cérémonie splendide. Le recteur nous avait généreusement laissé les clefs de la sacristie, et les sacristains purent exhumer des trésors pour préparer la messe solennelle. Nous pûmes décorer le maître-autel de la basilique de tous ses reliquaires d’origine et de ses canons ; dans l’abside, au côté évangile, trônait la copie que la basilique possède de l’étendard de sainte Jeanne d’Arc, tout brodé d’or. L’ensemble complet des ornements était celui utilisé pour la dédicace de la basilique en 1926.

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C’est dans ce faste liturgique que Monsieur l’abbé Boivin, nouveau premier assistant du District de France, put célébrer la messe solennelle de sainte Jeanne d’Arc et nous gratifier d’un fort beau sermon dans lequel il nous retraça de façon magistrale les conflits que connut la sainte à son époque, tant au niveau politique que religieux. Il nous invita ensuite à suivre l’exemple de la sainte, à fuir le naturalisme comme le surnaturalisme, pour nous consacrer à l’action fécondée par la prière.

Nous ne devons désespérer de rien, « les hommes d’armes combattront, mais Dieu donnera la victoire. » Les chants et les morceaux de musique à l’orgue, accompagné de trompette, furent de grande qualité. Cela culmina lors de la procession de sortie, ouverte par la clochette et le pavillon basilical comme il se doit, quand les pèlerins accompagnés des grandes orgues et de la trompette, firent retentir toute la basilique d’un puissant « Étendard de la délivrance ».

Et l’âme confortée par tant de grâces reçues au sanctuaire de la sainte guerrière, tous purent regagner leur foyer après une grande photo de famille devant la basilique.

Ce pèlerinage restera longtemps gravé dans nos mémoires comme un encouragement à nous donner au service du Christ-Roi à la suite de sainte Jeanne d’Arc.

En 2012, nous fêterons le sixième centenaire de la naissance de notre héroïne. Le doyenné de l’Est ne laissera pas cette date dans l’oubli !

Abbé Louis-Marie Turpault

 

Ecouter le sermon de l'abbé Boivin
[Attention : penser à bien augmenter le son qui est faible]

Voir sur le reportage sur le site de la porte latine :

http://www.laportelatine.org/district/ecoles/activiteseco...

22/09/2010

Les successeurs du comte de Chambord

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Le comte de Chambord

 

Listes des Princes qui, depuis 1883 jusqu’à aujourd’hui, ont maintenu intact le principe sacré de la monarchie comme successeurs légitimes au trône de France

 

 

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Jean III (1822, 1883, † 1887)

Ce prince devient, en 1883, à la mort de son beau-frère le comte de Chambord, dont il était le plus proche parent par les mâles, l’aîné de la Maison de Bourbon. A ce titre, malgré la tentative des princes de la branche d’Orléans, il préside les obsèques officielles du comte de Chambord à Göritz ou Gorizia (Slovénie et Italie).
Jean III meurt le 18 novembre 1887 à Brighton, où il résidait habituellement. Il est inhumé dans la cathédrale de Trieste. Son fils lui succéda.

 

 

 

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Charles XI (1848, 1887, † 1909)


Le nouveau chef de la Maison de Bourbon, connu comme Don Carlos, est une forte personnalité qui a marqué son époque. Bien que lié par ses engagements envers l’Espagne, où il a défendu les armes à la main ses droits dynastiques face aux libéraux, il a tenu à rester fidèle aux devoirs que l’aînesse de la Maison de Bourbon lui imposait vis-à-vis de la France. Il eut l’occasion de le rappeler à plusieurs reprises en adressant des messages et des manifestes à ses fidèles.
Charles XI mourut à Varèse (Italie) le 18 juillet 1909. Son fils lui succéda.

 

 

 

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Jacques 1er (1870, 1909, † 1931)

Elevé à Froshdorf auprès du comte de Chambord, Jacques 1er était le fils de Charles XI et de la princesse Marguerite de Bourbon-Parme, elle-même petite-fille du duc de Berry. Bien que frappé par la loi d’exil qui interdisait le sol de France à tous les chefs de maisons ayant régné,
résidant souvent à Paris, il put redonner espoir aux monarchistes français en participant à de nombreuses manifestations en France. Il avait hérité de sa tante, la comtesse de Chambord, du château de Froshdorf et des archives de la Maison de France.
Il mourut le 4 octobre 1931. La messe solennelle célébrée à Paris fut suivie par de très nombreuses personnalités, au premier rang desquelles figurait le Maréchal Lyautey.

 

 

 

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Alphonse-Charles XII (1849, 1931, † 1936)

L’oncle du prince Jacques, octogénaire, allait être jusqu’en 1936 le chef de la Maison de Bourbon. Ancien officier des Zouaves pontificaux, il avait été blessé pour la défense du Saint-Siège lors de la prise de Rome par les Piémontais en septembre 1870, puis avait mis son ardeur au service de son frère pendant la dernière guerre carliste.
Il mourut à Vienne le 29 septembre 1936. Il n’avait pas d’enfant. Son successeur légitime était son cousin, petit fils de son grand oncle, François de Paule, frère cadet du premier Don Carlos.

 

 

 

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Alphonse 1er (1886, 1936, † 1941)

Le petit fils de François [de Paule], fils de François [d’Assise], successeur salique des rois des France par extinction successive des premiers rameaux de la branche aînée, était Alphonse XIII d’Espagne, qui devenait roi de France sous le nom d’Alphonse 1er. Sur le trône de Madrid, il avait toujours marqué son amour de la France : les immenses services qu’il rendit à celle-ci au cours de la guerre de 1914-1918 lui valurent, honneur exceptionnel pour un souverain non-belligérant, la Médaille militaire.
Investi des droits et des devoirs de l’aîné des Bourbons, il prit les pleines armes de France en enlevant la bordure de gueule autour des fleurs de lys. La période troublée l’empêcha d’avoir une action importante mais dés 1936 il s’était rapproché de son Chef de Maison, à l’époque le Prince Jacques, dont il avait reconnu l’aînesse et les droits immémoriaux.
Il mourut à Rome le 28 février 1941.

 

 

 

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Jacques-Henri VI (1908,1941, † 1975)

Ce prince, qui avait renoncé au trône d’Espagne en 1931, se dévoua à maintenir l’héritage des lys. Dès 1946, il fit une proclamation auprès des cours européennes pour rappeler ses droits. Il fit maints voyages en France et adressa plusieurs manifestes (notamment sur l’Algérie française, et contre l’avortement).
Il mourut à Saint-Gall, en Suisse, le 20 février 1975, laissant la succession à son fils, Alphonse II, duc d’Anjou et de Cadix. Celui-ci poursuivit et intensifia son oeuvre pendant quatorze ans, en particulier lors du millénaire capétien dont le succès dans toute la France, tint pour beaucoup à sa personnalité. Reconnu par l’ensemble des autorités nationales, il a laissé de nombreux messages. Il est décédé accidentellement à Beaver Creek (USA), le 30 janvier 1989. Son fils, le Prince Louis alors âgé de 14 ans lui succéda comme chef de la maison de Bourbon et successeur du roi de France.

 

 

 

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Alphonse II, duc d’Anjou (1936,1975  † 1989)

Le Prince Alphonse né en 1936 du mariage du prince Jacques-henri (1908-1975) duc d’Anjou et de Ségovie et de la princesse née Emmanuelle de Dampierre, est devenu chef de la Maison de Bourbon en 1975. La mort de son père en faisait l’héritier légitime et le successeur des rois de France.
A partir de cette date son activité n’a cessé de croître.
Il a participé à de très nombreuses manifestations dynastiques et historiques dont il assumait toujours, avec beaucoup de disponibilité, la présidence, souvent associé aux autorités.
De son mariage naquirent deux princes ; L’aîné, le dauphin François est décédé accidentellement en février 1984. Le cadet, le Prince Louis, né en 1974, assume l’héritage de la maison royale de France depuis 1989.
En 1987, le Prince Alphonse donna toute son impulsion aux cérémonies du millénaire capétien qui eurent lieu sur l’ensemble du territoire français.
C’est au lendemain de la messe pour Louis XVI qu’il présida en compagnie de son fils, le 21 janvier 1989 à Saint-Denis, que le Prince Alphonse devait trouver une mort tragique le 30 janvier 1989.
Depuis cette date, son fils, le Prince Louis qui a relevé le titre de duc d’Anjou, assume l’aînesse de la Maison de Bourbon. Marié à la princesse Marie-Marguerite, le prince a une fille. SAR la Princesse Eugénie. 

 

 

 

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Louis XX

 

 

 

Voir l'arbre généalogique Maison de Bourbon-Anjou 

 

http://membres.multimania.fr/grandesfamilles/FamilleBourb...

 

14/09/2010

La Messe (rite Catholique)

Aspersion de l'eau bénite
L'aspersion d'eau bénite, qui a lieu avant la grand-messe du dimanche, nous prépare à entrer dans le mystère qui va être célébré, et nous rappelle la sainteté de notre baptême.

  Ecoutez

Asperges me, Domine, hyssópo, et mundábor : lavábis me, et super nivem dealbábor. Ps.50 : Miserére mei, Deus, secúndum magnam misericórdiam tuam.
V/. Glória Patri et Filio, et Spiritui Sancto.
R/. Sicut erat in principio, et nunc, et semper, et in sæcula sæculorum. Amen.

V/. Osténde nobis, Dómine, misericórdiam tuam.
R/. Et salutáre tuum da nobis.
V/. Dómine, exáudi oratiónem meam.
R/. Et clamor meus ad te véniat.
V/. Dóminus vobiscum.
R/. Et cum spíritu tuo.
V/. Exáudi nos, Dómine, sancte, Pater omnípotens, ætérne Deus, et míttere dignéris sanctum Angelum tuum de cælis, qui custódiat, fóveat, prótegat, vísitet atque deféndat omnes habitántes in hoc habitáculo. Per Christum Dóminum nostrum.
R/. Amen.

 

ORDINAIRE DE LA MESSE

I. — Au pied de l'autel 

V/. In nomine Patris † ; et Filii et Spiritus Sancti. Amen.
Introíbo ad altare Dei,
R/. ad Deum qui lœtificat juventútem meam. Psaume 42 :

V/. Judica me, Deus, et discérne causam meam de gente non sancta; ab hómine iniquo et doloso erue me.
R/. Quia tu es, Deus, fortitudo mea quare me repulisti et quare tristis incédo, dum affligit me inimicus ?
V/. Emitte lucem tuam et veritatem tuam; ipsa me deduxerunt et adduxerunt in montem sanctum tuum, et in tabernacula tua.
R/. Et Introibo ad altare Dei, ad Deum qui lætificat juventutem meam.
V/. Confitebor tibi in cithara, Deus, Deus meus quare tristis es, anima mea, et quare conturbas me ?
R/. Spera in Deo, quoniam adhuc confitebor illi : salutare vultus mei et Deus meus.
V/. Gloria Patri et Filio, et Spiritui Sancto.
R/. Sicut erat in principio, et nunc, et semper, et in sæcula sæculorum. Amen.
V/. Introibo ad altare Dei,
R/. ad Deum qui lætificat juventutem meam.
V/. Adjutorium nostrum in nomine Domini,
R/. qui fecit cælum et terram.

 

Le Prêtre, s'inclinant profondement, récite le Confíteor.
Le servant, tourné vers le Prêtre et un peu incliné, répond :

Misereátur tui omnipotens Deus, et, dimissis peccátis tuis, perdúcat te ad vitam ætérnam.
Le Prêtre : Amen.

 

Le servant incliné profondément

 

Confiteor Deo omnipotenti,
beatæ Mariæ semper Virgini,
beato Michæli archangelo,
beato Joanni Baptistæ,
sanctis apostolis Petro et Paulo,
omnibus sanctis,
et tibi pater,
quia peccavi nimis cogitatione,
verbo et opere :

(en se frappant la poitrine) :
mea culpa,
mea culpa,
mea maxima culpa.

Ideo precor
beatam Mariam semper Virginem,
beatum Michælem archangelum,
beatum Joannem Baptistam,
sanctos apostolos Petrum et Paulum,
omnes sanctos,
et te pater,
orare pro me ad Dominum Deum nostrum.

V/. Misereatur vestri omnipotens Deus,
et dimissis peccatis vestris,
perdúcat vos ad vitam ætérnam.

R/. Amen.

 

 

En faisant le signe de la Croix :

 

V/. Indulgéntiam † , absolutiónem et remissiónem peccatórum nostrórum tríbuat nobis omnipotens et misericors Dominus.
R/. Amen.

En s'inclinant légèrement

V/. Deus, tu conversus vivificabis nos.
R/. Et plebs tua lætabitur in te.
V/. Ostende nobis, Domine, misericordiam tuam.
R/. Et salutare tuum da nobis.
V/. Domine, exaudi orationem meam.
R/. Et clamor meus ad te veniat.
V/. Dominus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.

Le prêtre monte et baise l'autel.

Oremus


Pour les messes plus solennelles, il encense l'autel. Ensuite il va à droite lire dans le missel la prière de l'introït  , en le commençant il fait le signe de la Croix † . Cette prière d'entrée se compose d'une antienne et d'un verset de psaume, qui peuvent se chanter en grégorien.


V/. Kyrie eleison
R/. Kyrie eleison
V/. Kyrie eleison
R/. Christe eleison
V/. Christe eleison
R/. Christe eleison
V/. Kyrie eleison
R/. Kyrie eleison
V/. Kyrie eleison.


 

  GLORIA IN EXCELSIS

Ecoutez


Gloria in excelsis Deo,
Et in terra pax hominibus bonæ voluntatis.
Laudamus te.
Benedicimus te.
Adoramus te.
Glorificamus te.
Gratias agimus tibi
propter magnam gloriam tuam.
Domine Deus, rex cælestis,
Deus pater omnipotens.
Domine Fili unigenite, Jesu Christe.
Domine Deus, Agnus Dei, Filius Patris.
Qui tollis peccata mundi, miserere nobis.
Qui tollis peccata mundi,
suscipe deprecationem nostram.
Qui sedes ad dexteram Patris, miserere nobis.
Quoniam tu solus Sanctus.
Tu solus Dominus
Tu solus Altissimus, Jesu Christe.
Cum Sancto Spiritu, † in gloria Dei Patris.
Amen.


 

COLLECTE 

Les Oraisons se trouvent à l'Office du jour. Avant ces Oraisons et avant les Postcommunions le Prêtre salue les fidèles pour les inviter de prier avec lui :


V/. Dóminus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.

Puis joignant les mains et inclinant la tête pour inviter au recueillement et au respect, il dit : « Orémus ». Après chaque terminaison, on répond : « Amen », pour ratifier et faire nôtres les prières de l'Eglise.

 


ÉPÎTRE 

 

Voir au Propre du Temps ou des Saints, suivant l'Office du jour.
Après l'Epître, on répond :
« Deo grátias », pour remercier Dieu de ses divines missives.


ALLELUIA

ÉVANGILE 

 

Un servant de messe prend le missel et le place sur le côté gauche où le Prêtre lit l'Evangile. Pour les messes plus solennelles, le Prêtre, précédé des acolytes et du thuriféraire, va à l'ambon, et y proclame l'Evangile.

V/. Dóminus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.

V/. Sequéntia sancti Evangélii, secúndum Mattheum (ou Marcum, Lucam, Joannem).
R/. Gloria tibi Domine.

Le prêtre lit un passage d'Évangile.

A la fin, on répond :
R/. Laus tibi Christe.

 CREDO

Ecoutez




Credo in unum Deum,
Patrem omnipotentem,
factorem cæli et terræ,
visibilium omnium et invisibilium.
Et in unum Dominum Jesum Christum,
Filium Dei unigenitum.
Et ex Patre natum ante omnia sæcula.
Deum de Deo,
lumen de lumine,
Deum verum de Deo vero.
Genitum, non factum,
consubstantialem Patri :
per quem omnia facta sunt.
Qui propter nos homines
et propter nostram salutem,
descendit de cælis.
        (ici on se met à genoux jusqu'à :
        « et homo factus est »)

Et incarnatus est de Spiritu Sancto,
ex Maria Virgine,

ET HOMO FACTUS EST.

Crucifixus etiam pro nobis,
sub Pontio Pilato passus
et sepultus est.
Et resurrexit tertia die,
secundum Scripturas.
Et ascendit in cælum,
sedet ad dexteram Patris.
Et iterum venturus est cum gloria,
judicare vivos et mortuos,
cujus regni non erit finis.
Et in Spiritum Sanctum,
Dominum et vivificantem,
qui ex Patre, Filioque procedit.
Qui cum Patre,
et Fiio simul adoratur
et conglorificatur :
qui locutus est per Prophetas.
Et unam, sanctam, catholicam
et apostolicam Ecclesiam.
Confiteor unum Baptisma
in remissionem peccatorum.
Et expecto resurrectionem mortuorum. †
Et vitam † venturi sæculi. Amen.


 

OFFERTOIRE

V/. Dominus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.
V/. Oremus : (le Prêtre lit une courte prière).

(le Prêtre lit une courte prière, pour inviter les fidèles à prier pendant l'offrande du pain et du vin qui vont devenir le Corps et le Sang du Christ. Nous entrons ici dans la liturgie du sacrifice. C'est le moment de nous unir à la prière et d'offrir à Dieu toutes nos actions et notre vie).

OBLATION DE L'HOSTIE

Recevez Père très saint, Dieu éternel et tout-puissant, cette Hostie sans tache, que moi, Votre indigne serviteur, je vous offre comme à mon Dieu vivant et véritable, pour mes innombrables péchés, offenses et négligences, pour tous ceux ici rassemblés et pour tous les fidèles chrétiens vivants et morts afin que cette oblation serve à mon salut et au leur pour la vie éternelle. † Amen.

(Le Prêtre bénit l'eau) :

Dieu, † Qui avez admirablement fondé la dignité de la nature humaine et l'avez plus admirablement encore réformée, donnez-nous par le mystèrede l'eau mêlée au vin de prendre part à la divinité de Celui Qui a daigné prendre notre humanité, Jésus Christ, Votre Fils, notre Seigneur. Qui vit et règne avec Vous dans l'unité du Saint Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles. Amen.

 

Suscipe sancte Pater omnipotens æterne Deus, hanc immaculatam hostiam, quam ego indignus famulus tuus offero tibi Deo meo vivo et vero, pro innumerabilibus peccatis et offensionibus et negligentiis meis, et pro omnibus circumstantibus, sed et pro omnibus fidelibus Christianis vivis atque defunctis: ut mihi et illis proficiat ad salutem in vitam aeternam. † Amen.

(Le Prêtre bénit l'eau) :

Deus, † qui humanae substantiae dignitatem mirabiliter condidisti, et mirabilius reformasti: da nobis per hujus aquae et vini mysterium, ejus divinitatis esse consortes, qui humanitatis nostrae fieri dignatus est particeps, Jesus Christus, Filius tuus, Dominus noster: Qui tecum vivit et regnat in unitate Spiritus Sancti, Deus; per omnia saecula saeculorum. Amen.

OBLATION DU CALICE

Nous Vous offrons, Seigneur,le calice du salut, implorant Votre clémence : qu'il s'élève en odeur de suavité devant Votre divine majesté, pour notre salut et celui du monde entier. Amen.

PRIÈRE

Voyez l'humilité de nos âmes et la contrition de nos coeurs : nous Vous supplions, Seigneur , accueillez-nous et que notre Sacrifice en ce jour trouve grâce devant Vous, Seigneur Dieu.
Venez sanctificateur, Dieu éternel et tout-puissant et bénissez † ce sacrifice préparé pour la gloire de Votre Saint Nom.

 

Offerimus tibi Domine, calicem salutaris, tuam deprecantes clementiam : ut in conspectu divinae majestatis tuae, pro nostra et totius mundi salute cum odore suavitatis ascendat. Amen.

PRIÈRE

In spiritu humilitatis, et in animo contrito suscipiamur a te Domine : et sic fiat sacrificium nostrum in conspectu tuo hodie, ut placeat tibi Domine Deus.
Veni sanctificator omnipotens aeterne Deus, et † benedic hoc sacrificium tuo sancto nomini praeparatum.

(Ici, aux Messes solennelles, on encense le pain et le vin, puis tout l'autel ; on encense ensuite le Prêtre, puis les ministres, et enfin tous les fidèles)

Que cet encens béni par Vous, Seigneur s'élève en Votre présence et que descende sur nous Votre miséricorde.   Incensum istud a Te benedictum, ascendat ad Te, Domine : et descendat super nos misericordia Tua.
Psaume 140 : Que ma prière s'élève vers Vous,Seigneur,comme la fumée de l'encens et mes mains pour le Sacrifice du soir. Mettez, Seigneur, une garde à ma bouche et une barrière à mes lèvres : Que mon coeur ne tombe pas en de mauvaises paroles et en de vaines excuses à mes péchés.   Psaume 140 : Dirigatur, Domine,oratio mea, sicut incensum in conspectu Tuo:elevatio manuum mearum Sacrificium vespertinum. Pone, Domine, custodiam ori meo, et ostium circumstantiae labiis meis : Ut non declinet cor meum in verba malitiae, ad excusandas excusationes in peccatis.

LAVABO


Je laverai mes mains parmi les innocents et je me tiendrai auprès de Votre autel, Seigneur.
Pour entendre la voix de la louange et raconter Vos merveilles infinies.
Seigneur, j'aime l'ornement de Votre maison et le lieu où Votre gloire habite.
Dieu, Ne perdez pas mon âme avec les impies, et ma vie avec les hommes de sang.
Leurs mains commettent l'iniquité et leur droite est remplie de biens.
Pour moi je marche dans l'innocence, rachetez-moi et ayez pitié de moi.
Mon pied marchera sur la voie droite : je Vous bénirai dans les assemblées.
Gloire au Père, au Fils, et au Saint-Esprit.
Comme il était au commencement, maintenant et toujours, et pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

Recevez, Trinité Sainte, cette Offrande, que nous Vous présentons en memoire de la Passion, de la Resurrection et de l'Ascension de Jesus-Christ notre Seigneur; et en l'honneur de la Bienheureuse Marie toujours Vierge, du Bienheureux Jean le Baptiste, des Saints Apôtres Pierre et Paul, (des Saints dont nous vénérons les reliques ici,) et de tous Vos Saints ; qu'Elle serve à leur honneur et à notre salut, et que les Saints dont nous faisons mémoire sur la terre daignent intercéder pour nous dans les cieux . Par le même Christ notre Seigneur. Ainsi soit-il.

 

Lavabo inter innocentes manus meas: et circumdabo altare tuum Domine.
Ut audiam vocem laudis: et enarrem universa mirabilia tua.
Domine dilexi decorem domus tuae, et locum habitationis gloriae tuae.
Ne perdas cum impiis Deus animam meam: et cum viris sanguinum vitam meam.
In quorum manibus iniquitates sunt : dextera eorum repleta est muneribus.
Ego autem in innocentia mea ingressus sum: redime me, et miserere mei.
Pes meus stetit in directo: in ecclesiis benedicam te Domine.
Gloria Patri et Filio, et Spiritui Sancto.
Sicut erat in principio, et nunc, et semper,
et in saecula saeculorum. Amen.


Suscipe sancta Trinitas hanc oblationem, quam tibi offerimus ob memoriam passionis resurrectionis et ascensionis Jesu Christi Domini nostri: et in honorem beatae Mariae semper virginis, et beati Joannis Baptistae, et sanctorum Apostolorum Petri et Pauli, et istorum, et omnium Sanctorum: ut illis proficiat ad honorem, nobis autem ad salutem: et illi pro nobis intercedere dignentur in coelis, quorum memoriam agimus in terris. Per eumdem Christum Dominum nostrum. Amen.

Le Prêtre se tourne une dernière fois vers les fidèles avant la Consécration :

V/. Priez, mes frères :

 

V/. Oráte, fratres :


Et il achève à voix basse :

afin que mon Sacrifice,qui est aussi le vôtre, soit agréé par Dieu le Père tout-puissant.

R/. Que le Seigneur reçoive un Sacrifice à la louange et à la gloire de Son Nom, pour notre bien et celui de toute Sa Sainte Eglise.


ut meum ac vestrum sacrificium acceptabile fiat apud Deum Patrem omnipotentem.

R/. Suscipiat Dominus sacrificium de manibus tuis ad laudem et gloriam nominis sui, ad utilitatem quoque nostram, totiusque Ecclesiae suae sanctae.

Le Prêtre répond tout bas : « Amen », et lit les Oraisons de l'Office appelées Secrètes.


 

Préface


V/. Per omnia sæcula sæculorum.
R/. Amen.
V/. Dominus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.
V/. Sursum corda.
R/. Habemus ad Dominum.
V/. Gratias agamus Domino Deo nostro.
R/. Dignum et justum est.

Puis, le Prêtre chante ou lit la Préface du jour, qui se termine par le Sanctus.

Sanctus, Sanctus, Sanctus, Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt coeli et terra gloria tua. Hosanna in excelsis. Benedictus qui venit in nomine Domini † . Hosanna in excelsis.


 

CANON DE LA MESSE


Père très clément, Vous vers Qui montent nos louanges, nous Vous prions humblement et nous Vous supplions, par Jésus Christ, Votre Fils, notre Seigneur, d'accepter et de bénir ces†dons, ces† présents, ces†offrandes saintes et sans taches . Nous Vous les présentons avant tout, pour Votre sainte Eglise catholique : daignez lui donner la paix, la protéger, la rassembler dans l'unité et la gouverner par toute la terre en communion avec Votre serviteur notre Pape N*** , notre Evêque N***, l'ensemble des évêques, des prêtres et tous ceux qui veillent fidèlement sur la foi catholique et apostolique.

Memento des vivants
P: Souvenez-Vous, Seigneur, de Vos serviteurs et de Vos servantes N*** et N*** et de tous ceux ici assemblés, dont Vous connaissez la foi et la dévotion . Pour eux nous Vous offrons ou ils Vous offrent eux-mêmes ce Sacrifice de louange, pour eux et pour les leurs, pour la rédemption de leur âme, dans l'espérance du salut et de leur conservation ; et ils Vous rendent cet hommage, à Vous, Dieu éternel, vivant et vrai.
Mémoire solennelle de la Sainte vierge,
des Saints et Martyrs
Unis dans une même communion, nous voulons vénérer en premier lieu la mémoire de la Glorieuse Marie toujours Vierge, Mère de notre Dieu et Seigneur Jésus Christ et ensuite de Saint Joseph, son très chaste Epoux, de Vos Saints Apôtres et Martyrs, Pierre et Paul, André, Jacques, Jean, Thomas, Jacques, Philippe, Barthélémy, Matthieu, Simon et Jude, Lin, Clet, Clément, Xyste, Corneille, Cyprien, Laurent, Chrysogone, Jean et Paul, Côme et Damien et de tous Vos Saints . Accordez-nous, par leurs mérites et leurs prières d'être, toujours et partout, munis du secours de Votre protection. Par le même Christ notre Seigneur. Amen.
Supplication pour bénir l'oblation
Voici donc l'Offrande que nous Vous présentons, nous Vos serviteurs et Votre famille entière : nous Vous supplions de l'accepter avec bienveillance, de disposer nos jours dans la paix, de nous arracher à la damnation éternelle et de nous recevoir au nombre de Vos élus. Par le Christ notre Seigneur. Amen.
Cette Oblation, Dieu, nous Vous en prions, daignez la† bénir, l'†agréer, l'†approuver pleinement, la rendre parfaite et digne de Vous plaire afin qu'elle devienne pour nous le†Corps et le†Sang de Votre Fils bien-aimé Jésus Christ, notre Seigneur.
La veille de Sa Passion, Il prit le pain dans Ses mains saintes et vénérables, et, les yeux élevés au ciel, vers Vous, Dieu Son Père tout-puissant, Vous rendant grâces, Il le†bénit, le rompit, et le donna à Ses disciples en disant : "Prenez et mangez-en tous :
CECI EST MON CORPS"
De même, après le repas, prenant aussi ce précieux Calice dans Ses mains saintes et vénérables, Vous rendant grâces de nouveau, Il le†bénit, et le donna à Ses disciples en disant : "Prenez et buvez-en tous :
CECI EST LE CALICE DE MON SANG, LE SANG DE L'ALLIANCE NOUVELLE ET ETERNELLE, MYSTERE DE LA FOI, QUI SERA VERSE POUR VOUS ET POUR UNE MULTITUDE EN REMISSION DES PECHES"
Chaque fois que vous ferez ceci, vous le ferez en mémoire de Moi.
C'est pourquoi, Seigneur, nous Vos serviteurs et Votre peuple saint avec nous, faisant mémoire de la Passion bienheureuse de Votre Fils, Jésus Christ notre Seigneur, de Sa Résurrection du séjour des morts et de Sa Glorieuse Ascension dans les cieux, nous Vous présentons, Dieu de gloire et de majesté, cette Offrande choisie parmi les biens que Vous donnez, l'Hostie†pure, l'Hostie†sainte, l'Hostie† immaculée, le Pain†sacré de la vie éternelle et le Calice†de l'éternel salut.
Sur ces Offrandes daignez jeter un regard favorable et accueillir dans Votre bienveillance ce Sacrifice Saint, cette Hostie immaculée, comme il Vous plut d'accueillir les présents de Votre serviteur Abel le Juste, le Sacrifice de notre père Abraham, et celui que Vous offrit Votre grand-prêtre Melchisedech.
Nous Vous en supplions, Dieu tout-puissant, faites porter ces Offrandes par Votre Saint Ange sur Votre autel céleste en présence de Votre divine majesté, afin qu'en recevant ici, par notre communion à l'autel, le†Corps et le†Sang sacrés de Votre Fils, nous puissions être comblés de Votre grâce et de toute bénédiction céleste. Par le même Christ notre Seigneur. Amen.
Memento des Défunts
Souvenez-Vous aussi, Seigneur, de Vos serviteurs et de Vos servantes N*** et N*** qui nous ont précédé, marqués du signe de la foi, et qui dorment du sommeil de la paix.
Pour ceux-là, Seigneur, et pour tous ceux qui reposent dans le Christ, nous implorons Votre bonté : qu'ils entrent dans le séjour du bonheur, de la Lumière et de la paix. Par le même Christ notre Seigneur. Amen.
Et à nous aussi pécheurs, Vos serviteurs, qui mettons notre espérance en Votre miséricorde infinie, daignez nous accorder une place dans la communauté de Vos Saints Apôtres et Martyrs, de Jean le Baptiste, Précurseur du Sauveur, Etienne, Matthias, Barnabé, Ignace, Alexandre, Marcellin, Pierre, Félécité, Perpétue, Agathe, Lucie, Agnès, Cécile, Anastasie et et de tous Vos Saints ; admettez-nous en leur compagnie, nous Vous en supplions, sans considérer nos mérites mais Votre miséricorde. Par le Christ notre Seigneur. Amen.
Par Lui, Seigneur, Vous ne cessez de créer tous ces biens et Vous les sancti†fiez, Vous les vivi†fiez et Vous les bénis†sez pour nous en faire don.
Par † Lui, avec † Lui, et en † Lui, à Vous Dieu le Père † tout-puissant, en l'unité du Saint†Esprit, tout honneur et toute gloire.
  Ecoutez

Te igitur clementissime Pater, per Jesum Christum Filium tuum Dominum nostrum, supplices rogamus ac petimus, uti accepta habeas, et benedicas haec † dona, haec † munera, haec † sancta sacrificia illibata, in primis quae tibi offerimus pro Ecclesia tua sancta Catholica; quam pacificare, custodire, adunare, et regere digneris toto orbe terrarum: una cum famulo tuo Papa nostro N***. et Antistite nostro N***. et omnibus orthodoxis, atque Catholicae et Apostolicae fidei cultoribus.

Memento des vivants Memento Domine famulorum, famularumque tuarum N***. et N***. et omnium circumstantium, quorum tibi fides cognita est, et nota devotio, pro quibus tibi offerimus: vel qui tibi offerunt hoc sacrificium laudis pro se, suisque omnibus: pro redemptione animarum suarum, pro spe salutis et incolumitatis suae : tibique reddunt vota sua aeterno Deo vivo et vero.

Mémoire solennelle de la Sainte vierge,
des Saints et Martyrs
Communicantes, et memoriam venerantes, in primis gloriosae semper virginis Mariae genitricis Dei et Domini nostri Jesu Christi: sed et beati Joseph, ejusdem virginis sponsi et beatorum Apostolorum ac martyrum tuorum, Petri et Pauli, Andreae, Jacobi, Joannis, Thomae, Jacobi, Philippi, Bartholomaei, Matthaei, Simonis et Thaddaei: Lini, Cleti, Clementis, Xysti, Cornelii, Cypriani, Laurentii, Chrysogoni, Joannis et Pauli, Cosmae et Damiani, et omnium sanctorum tuorum: quorum meritis precibusque concedas, ut in omnibus protectionis tuae muniamur auxilio. Per eumdem Christum Dominum nostrum. Amen.
Supplication pour bénir l'oblation Hanc igitur oblationem servitutis nostrae, sed et cunctae familiae tuae, quaesumus, Domine, ut placatus accipias : diesque nostros in tua pace disponas, atque ab aeterna damnatione nos eripi, et in electorum tuorum jubeas grege numerari. Per Christum Dominum nostrum. Amen.
Quam oblationem tu, Deus, in omnibus, quaesumus benedictam †, adscriptam †, ratam †, rationabilem, acceptabilemque facere digneris: ut nobis Corpus †, et Sanguis † fiat dilectissimi Filii tui Domini nostri Jesu Christi.
Qui pridie quam pateretur, accepit panem in sanctas ac venerabiles manus suas: et elevatis oculis in coelum ad te Deum Patrem suum omnipotentem, tibi gratias agens, benedixit †, fregit, deditque discipulis suis, dicens: "Accipite et manducate ex hoc omnes :

 HOC EST ENIM CORPUS MEUM  

Simili modo postquam coenatum est, accipiens et hunc praeclarum Calicem in sanctas ac venerabiles manus suas: item tibi gratias agens, benedixit †, deditque discipulis suis, dicens : "Accipite et bibite ex eo omnes:
  HIC EST ENIM CALIX SANGUINIS MEI, NOVI ET ÆTERNI TESTAMENTI: MYSTERIUM FIDEI, QUI PRO VOBIS ET PRO MULTIS EFFUNDETUR IN REMISSIONEM PECCATORUM. 

Haec quotiescumque feceritis in mei memoriam facietis.
Unde et memores Domine, nos servi tui, sed et plebs tua sancta, ejusdem Christi Filii tui Domini nostri tam beatae passionis, nec non et ab inferis resurrectionis, sed et in coelos gloriosae ascensionis: offerimus praeclarae majestati tuae de tuis donis ac datis, hostiam † puram, hostiam † sanctam, hostiam † immaculatam, Panem † sanctum vitae aeternae, et Calicem † salutis perpetuae.


Supra quae propitio ac sereno vultu respicere digneris: et accepta habere, sicuti accepta habere dignatus es munera pueri tui justi Abel, et sacrificium patriarchae nostri Abrahae: et quod tibi obtulit summus sacerdos tuus Melchisedech, sanctum sacrificium, immaculatam hostiam.
Supplices te rogamus, omnipotens Deus; jube haec perferri per manus sancti Angeli tui in sublime altare tuum, in conspectu divinae majestatis tuae: ut quotquot ex hac altaris participatione, sacrosanctum Filii tui Corpus † et Sanquinem † sumpserimus omni benedictione coelesti et gratia repleamur. Per eumdem Christum Dominum nostrum. Amen.

Memento des Défunts
Memento etiam, Domine, famulorum famularumque tuarum N*** et N*** qui nos praecesserunt cum signo fidei, et dormiunt in somno pacis.
Ipsis Domine, et omnibus in Christo quiescentibus, locum refrigerii, lucis et pacis, ut indulgeas, deprecamur, per eumdem Christum Dominum nostrum. Amen.

Nobis quoque peccatoribus famulis tuis, de multitudine miserationum tuarum sperantibus, partem aliquam et societatem donare digneris, cum tuis sanctis Apostolis et Martyribus: cum Joanne, Stephano, Matthia, Barnaba, Ignatio, Alexandro, Marcellino, Petro, Felicitate, Perpetua, Agatha, Lucia, Agnete, Caecilia, Anastasia, et omnibus sanctis tuis : intra quorum nos consortium, non aestimator meriti, sed veniae, quaesumus, largitor admitte. Per Christum Dominum nostrum. Amen.

Per quem haec omnia, Domine, semper bona creas, sanctificas † , vivificas † , benedicis † et praestas nobis.

Per ipsum † , et cum ipso † , et in ipso † , est tibi Deo Patri † omnipotenti, in unitate Spritus † Sancti, omnis honor et gloria.

V/. Durant tous les siècles des siècles.
R/. Ainsi soit-il.

Prions : Avertis par de salutaires préceptes, et instruits par la leçon divine, nous osons dire :

 

V/. Per ómnia sæcula sæculórum.
R/. Amen.

Orémus : Praeceptis salutaribus moniti, et divina institutione formati, audemus dicere :

V/. Notre Père, Qui êtes aux cieux,
Que Votre Nom soit sanctifié,
Que Votre règne arrive,
Que Votre volonté soit faite,
sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour.
Pardonnez-nous nos offenses,
comme nous pardonnons
à ceux qui nous ont offensés,
Et ne nous laissez pas succomber à la tentation.
R/. Mais délivrez-nous du Mal.
V/. (Le Prêtre dit à voix basse) : Ainsi soit-il.

 

V/. Pater noster, qui es in cælis,
sanctificetur nomen tuum,
adveniat regnum tuum,
fiat voluntas tua
sicut in cælo et in terra.
Panem nostrum quotidianum
da nobis hodie,
et dimitte nobis debita nostra,
sicut et nos dimittimus
debitoribus nostris,
et ne nos inducas in tentationem.

R/. Sed libera nos a malo.
V/. (Le Prêtre dit à voix basse) : Amen.

V/. Délivrez-nous, Seigneur, de tout mal passé, présent et à venir et, par l'intercession de la Bienheureuse et Glorieuse Marie toujours Vierge, Mère de Dieu, Vos Saints Apôtres Pierre et Paul, André, et tous Vos Saints, daignez accorder la paix à notre temps et, par Votre miséricorde, libérez-nous du péché, rassurez-nous dans les épreuves.

Par le même Jésus-Christ Notre Seigneur, Votre Fils, qui étant Dieu vit et règne, avec Vous, en l'unité du Saint Esprit,
pendant tous les siècles des siècles.
R/. Ainsi soit-il.

 

V/. Libera nos, quaesumus Domine, ab omnibus malis praeteritis, praesentibus, et futuris : et intercedente beata et gloriosa semper Virgine Dei Genitrice Maria, cum beatis Apostolis tuis Petro at Paulo, atque Andrea, et omnibus sanctis, da propitius pacem in diebus nostris: ut ope misericordiae tuae adjuti, et a peccato simus semper liberi, et ab omni perturbatione securi.
Per eumdem Dominum nostrum Jesum Christum Filium tuum. Qui tecum vivit et regnat in unitate Spiritus Sancti Deus.
Per omnia saecula saeculorum.
R/. Amen.

V/. Que la paix † du Seigneur soit † toujours avec vous †
R/. Et avec votre esprit.

 

V/. Pax † Domini sit † semper vobis † cum.

R/. Et cum spiritu tuo.

V/. Que le mélange sacramentel du Corps et du Sang de notre Seigneur Jésus Christ nourissent en nous la vie éternelle. Amen.

 

V/. Haec commixtio et consecratio Corporis et Sanguinis Domini nostri Jesu Christi fiat accipientibus nobis in vitam aeternam. Amen.


Agnus Dei
Ecoutez
Agnus Dei,
qui tollis peccata mundi,
miserere nobis. (en se frappant la poitrine)
Agnus Dei,
qui tollis peccata mundi,
miserere nobis. (en se frappant la poitrine)
Agnus Dei,
qui tollis peccata mundi,
dona nobis pacem. (en se frappant la poitrine)


PRIÈRES AVANT LA COMMUNION

Seigneur Jésus Christ, Qui avez dit à Vos Apôtres : Je vous laisse Ma paix, Je vous donne Ma paix ; ne regardez pas mes péchés, mais la foi de Votre Eglise ; pour que Votre volonté s'accomplisse, donnez-lui toujours cette paix, et conduisez-la vers l'unité parfaite. Vous Qui vivez et régnez, Dieu, pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

Seigneur Jésus Christ, Fils du Dieu vivant, selon la volonté du Père et avec la coopération de l'Esprit Saint, Vous avez donné, par Votre Mort, la vie au monde ; que Votre Corps et Votre Sang sacrés me délivrent de mes péchés et de tout mal : faites moi demeurer toujours attachés à Vos commandements, et ne permettez pas que je sois jamais séparé de Vous. Qui vivez et régnez avec le Père et le Saint Esprit, Dieu pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

Que la communion à Votre Corps et à Votre Sang, Seigneur Jésus Christ, Que j'ose recevoir malgré mon indignité, n'entraîne pour moi ni jugement ni condamnation ; mais, par Votre miséricorde, qu'elle serve de soutien et de remède à mon esprit et mon corps. Vous, Qui vivez et régnez avec le Père et le Saint Esprit, Dieu pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

 

Domine Jesu Christe, qui dixisti Apostolis tuis: pacem relinquo vobis, pacem meam do vobis: ne respicias peccata mea, sed fidem Ecclesiae tuae; eamque secundum voluntatem tuam pacificare et coadunare digneris. Qui vivis et regnas Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.


Domine Jesu Christe, Fili Dei vivi, qui ex voluntate Patris cooperante Spritu Sancto, per mortem tuam mundum vivificasti: libera me per hoc sacrosanctum Corpus et Sanguinem tuum ab omnibus iniquitatibus meis et universis malis: et fac me tuis semper inhaerere mandatis: et a te nunquam separari permittas : qui cum eodem Deo Patre et Spiritu Sancto vivis et regnas Deus in saecula saeculorum. Amen.


Perceptio Corporis tui, Domine Jesu Christe, quod ego indignus sumere praesumo, non mihi proveniat in judicium et condemnationem : sed pro tua pietate prosit mihi ad tutamentum mentis et corporis, et ad medelam percipiendam. Qui vivis et regnas cum Deo Patre in unitate Spiritus Sancti Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.


COMMUNION DU PRÊTRE





Panem coelestem accipiam et nomen Domini invocabo.

Puis, se frappant la poitrine, il dit par trois fois :

Domine, non sum dignus ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanabitur anima mea.

Après quoi, faisant le signe de la Croix avec l'Hostie

Corpus Domini nostri Jesu Christi custodiat animam meam in vitam aeternam. Amen.

Après avoir communié, le Prêtre fait la génuflexion et dit

Quid retribuam Domino pro omnibus quae retribuit mihi? Calicem salutaris accipiam, et nomen Domini invocabo Dominum, et ab inimicis meis salvus ero.
Sanguis † Domini nostri Jesu Christi custodiat animam meam in vitam aeternam. Amen.

COMMUNION DES FIDÈLES

Pour la Communion des fidèles, le servant et les fidèles récitent le Confiteor.
Le Prêtre ajoute
Misereátur et Indulgéntiam, comme au commencement de la Messe.
Puis le Prêtre, se retournant et tenant élevée la sainte Hostie, dit :

 

V/. Ecce Agnus Dei, ecce Qui tollit peccata mundi.

R/. Domine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum: sed tantum dic verbo, et sanabitur anima mea.
(3 fois en se frappant la poitrine)

En déposant la sainte Hostie sur la langue de chacun des communiants, le Prêtre dit :

 

V/. Corpus Domini nostri Jesu Christi custodiat animam tuam in vitam æternam.
R/. Amen.

Après la communion des fidèles, le Prêtre prend les ablutions, pour purifier le Calice et les doigts qui ont touché le Corps du Seigneur, disant :

 

Quod ore sumpsimus Domine, pura mente capiamus: et de munere temporali fiat nobis remedium sempiternum.

Corpus tuum, Domine, quod sumpsi, et Sanguis, quem potavi, adhaereat visceribus meis: et praesta, ut in me non remaneat scelerum macula, quem pura et sancta refecerunt sacramenta. Qui vivis et regnas in saecula saeculorum. Amen.

 

Postcommunions

Ecoutez exemple d'un chant pendant la communion des fidéles.

 

V/. Dominus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.
V/. Oremus (voir au Propre du jour)

V/. Dominus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.

Le Prêtre annonce la fin de la Messe

Ecoutez

V/. Ite, missa est.
R/. Deo gratias.

Le Prêtre, incliné au milieu de l'autel, récite cette dernière prière :

Agréez, Trinité Sainte, l'hommage de ma servitude, ce Sacrifice, que, malgré mon indignité, j'ai présenté aux regards de Votre Majesté, acceptez-le, et, que par Votre miséricorde, il soit une source de grâces pour moi et pour tous ceux pour lesquels je Vous l'ai offert. Par le Christ notre Seigneur. Ainsi soit-il.

 

Placeat tibi sancta Trinitas, obsequium servitutis meae; et praesta, ut sacrificium, quod oculis tuae majestatis indignus obtuli, tibi sit acceptabile, mihique et omnibus, pro quibus illud obtuli, sit, te miserante, propitiabile. Per Christum Dominum nostrum. Amen.




BÉNÉDICTION DES FIDÈLES

V/. Benedicat vos omnipotens Deus, Pater, et Filius † , et Spiritus Sanctus.
R/. Amen.

Dernier Evangile

V/. Dominus vobiscum.
R/. Et cum spiritu tuo.
V/. Initium sancti Evangelii secundum Joannem.
R/. Gloria tibi Domine.

V/. In prinicipio erat Verbum, et Verbum erat apud Deum, et Deus erat Verbum. Hoc erat in principio apud Deum. Omnia per ipsum facta sunt, et sine ipso factum est nihil quod factum est. In ipso vita erat, et vita erat lux hominum: et lux in tenebris lucet, et tenebrae eam non comprehenderunt. Fuit homo missus a Deo, cui nomen erat Joannes. Hic venit in testimonium, ut testimonium perhiberet de lumine, ut omnes crederent per illum. Non erat ille lux, sed ut testimonium perhiberet de lumine. Erat lux vera quae illuminat omnem hominem venientem in hunc mundum. In mundo erat, et mundus per ipsum factus est, et mundus eum non cognovit. In propria venit, et sui eum non receperunt. Quotquot autem receperunt eum, dedit eis potestatem filios Dei fieri, his qui credunt in nomine ejus. Qui non ex sanguinibus, neque ex voluntate carnis, neque ex voluntate viri, sed ex Deo nati sunt. (En faisant la génuflexion) ET VERBUM CARO FACTUM EST, et habitavit in nobis et vidimus gloriam ejus, gloriam quasi unigeniti a Patre, plenum gratiae et veritatis.

R/. Deo gratias.

PRIÈRES APRÈS LA MESSE

Ces prières ont été prescrites par le Pape Léon XIII

On peut y ajouter les louanges en réparation des blasphèmes

Dieu soit béni ! Béni soit son saint Nom ! Béni soit Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme ! Béni soit le Nom de Jésus ! Béni soit son Sacré Coeur ! Béni soit Jésus dans le très saint Sacrement de l’autel ! Bénie soit l’auguste Mère de Dieu, la très sainte Vierge Marie ! Bénie soit sa sainte et Immaculée Conception ! Béni soit le Nom de Marie, Vierge et Mère ! Béni soit saint Joseph, son très chaste Époux ! Béni soit Dieu dans ses anges et dans ses saints !

11/09/2010

Trois générations de baptisés :

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1) Monseigneur Alphonse de Bourbon (futur duc d'Anjou et de Cadix) dans les bras de son grand-père et parrain le roi Alphonse XIII d'Espagne, de droit Alphonse Ier de France et de Navarre (Rome, le 26 avril 1936) ;

 

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2) Monseigneur Louis de Bourbon (futur duc d'Anjou et de Bourbon) avec ses parents Monseigneur feu le duc d'Anjou et de Cadix, de droit Alphonse II de France et de Navarre, et la ci-devant duchesse d'Anjou et de Cadix, aujourd'hui Madame Campos (El Pardo, le 3 mai 1974), et

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3) Monseigneur Louis de Bourbon, duc de Bourgogne, de droit Dauphin de France, aux bras de son père Monseigneur le duc d'Anjou et de Bourbon, de droit Louis XX de France et de Navarre (Cité du Vatican, le 5 septembre 2010).

Naissance de Louise de Savoie

Louise de Savoie, est née le 11 septembre 1476 à Pont-d'Ain, morte le 22 septembre 1531 à Grez-sur-Loing, princesse de la maison ducale de Savoie, fut la mère de François Ièr, le roi emblématique de la Renaissance française.

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1459 - 1523 - Le journal de Louise de Savoie, mère de François 1er

Les notes prises au fil des jours par la mère du roi révèlent une forte personnalité et surtout un amour fusionnel pour son fils François, le plus charentais des rois de France. La vie de famille est mêlée aux destinées d’un royaume qui combat sur toutes ses frontières. Un document pas banal : on regrette que Louise ait cessé d’écrire en 1523, au début des plus belles heures du règne de son fils. Plusieurs de ses formules sont des pièces d’anthologie.

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Louise de Savoie naquit au Pont-d’Ain en Bresse, le 11 septembre 1476. Elle fut mariée très-jeune au comte d’Angoulême, alors fort éloigné du trône. Devenue veuve à dix-huit ans, reléguée, par Charles VIII, dans le château de Cognac., Louise s’y dévoua entièrement à l’éducation de des enfans, pour lesquels elle montrait la plus vive tendresse. Lorsque Louis XII, qui avait aimé son époux, parvint à la Couronne, il la fit revenir à la Cour, où elle brilla par les grâces de son esprit, un goût pour la galanterie qu’on n’avait pas encore soupçonné. Les dissipations de cette vie nouvelle ne la détournèrent pas cependant des soins qu’elle devait à sa fille Marguerite, qui, dès l’enfance, annoncait les qualités les plus brillantes, et à son fils, qu’on çommençait à considérer comme l’héritier présomptif de la Couronne. Au milieu des intrigues où elle se trouvait engagée, elle veillait assidûment sur leur santé, prenait part à leurs plaisirs, et préférait souvent ces distractions innocentes au tourbillon par lequel elle se laissait entraîner.

Les passions qu’elle avait soigneusement dissimulées dans la vie privée, se déployèrent aussitôt que son fils fut devenu roi : mais elle y joignit des qualités qui appartiennent à un grand caractère. Le journal qu’elle a composé, de quelques circonstances importantes de sa vie, fut publié, pour la première fois, par Guichenon, dans les pièces qu’il joignit à son Histoire généalogique de la maison de Savoie : il fut ensuite placé, par l’abbé Lambert, à la suite de la traduction qu’il donna, en 1753, des Mémoires de Du Bellay.

On trouve dans ce petit ouvrage, qui manque malheureusement de développements, quelques traits marquants du caractère de Louise de Savoie : son amour maternel y domine, et on la voit sans cesse occupée des dangers que peut courir son fils. Le style, à l’ordinaire très-sec, quand il est question d’autres objets, prend alors le ton le plus tendre et le plus touchant. Le jeune prince, n’étant âgé que de sept ans, fut emporté par un cheval fougueux, et courut un grand danger.

« Toutefois, dit Louise, Dieu, protecteur des « femmes veuves, et defenseur des orphelins, prévoyant les choses futures, ne me voulut abandonner, cognoissant que, si cas fortuit m’eust si soudainement ci privée de mon amour, j’eusse esté trop infortunée»

Dans une autre occasion, où François fut grièvement blessé, en jouant avec de jeunes seigneurs, elle s’écrie :

« S’il en fust mort, j’estois femme perdue. »

Mais son amour pour son fils éclate surtout lorsque, après la sanglante bataille de Marignan, elle vole au devant de lui, autant pour jouir de son triomphe que pour se convaincre que sa santé n’a pas été altérée par tant de fatigues. L’ayant rencontré près de Sisteron, sur les bords de la Durance, elle s’enivre du bonheur de le contempler :

« Dieu sçait, dit-elle, si moi, pauvre mere, feus bien aise de voir mon fils sain et entier, après tant de violences qu’il avoit souffertes et soutenues pour servir la chose publique. »

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François Ier

 

Photos de la famille Royale

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10/09/2010

La Troupe des Coeurs de Chouans bientôt en Lorraine !

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Le Cercle Légitimiste Robert de Baudricourt en partenariat avec la Troupe des Coeurs de Chouans. Envisage pour l'an prochain la venue en Lorraine de la Troupe costumée composée de combattants des guerres de l'Ouest !

 

Ceci afin de rendre hommage sur les terres de Sainte Jehanne d'Arc, à la mémoire des Vendéens et Chouans qui se sont levés voilà plus de deux cent ans pour défendre l'alliance du Trône et de l'Autel.

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Vous résidez en Lorraine. Vous souhaitez nous aider pour faire en sorte que ce projet devienne une réalité ? 

N'hésitez plus ! Contactez nous rapidement

au 06-46-77-66-85.  

07/09/2010

Photo du baptême des Princes Louis et Alphonse de Bourbon

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Le baptème au Vatican des Princes Louis et Alphonse

Les Princes Louis et Alphonse, qui sont depuis leur naissance Duc de Bourgogne et Duc de Berry, ont été baptisés dans l'une des chapelles du choeur de la Basilique Saint-Pierre de Rome, par le Vicaire Général du Vatican, le Cardinal Comastri, sur des fonds baptismaux prêtés par le baron de Alacuas, qui fut le tuteur du Prince Louis-Alphonse après la mort de son père le Duc de Cadix. C'est de robes de baptême qui appartenaient au Duc d'Anjou et de Cadix, dont avaient été revêtus les jumeaux.

Sa Sainteté, le Pape Benoît XVI, avait daigné accorder la traditionnelle Bénédiction Apostolique, lue par un Prélat de la Maison Papale, Mgr Thévenin.

La marraine du Prince Louis était Arancha Martínez -Bordiú, le parrain M. Francisco d'Agostino. Ceux d'Alphonse, Amparo Corell de Trenos, baronne de Alacuas, qui est très proche du Prince Louis de Bourbon, et Lorenzo Perlaes, ami intime des parents.

Les jumeaux ont été inscrits sur les registres du Vatican comme Altesses Royales, Duc de Bourgogne et Duc de Berry.

La presse n'a pas manqué de rappeler que la Princesse Eugénie (trois ans), avait été baptisée à la Nonciature Apostolique de Paris, et inscrite comme Princesse et Altesse Royale.

Le Duc d'Anjou a déclaré : "Le baptême de mes fils dans l'Eglise Catholique, dont l'histoire est intimement liée depuis mille ans à ma famille, a une valeur très importante".

"Louis-Alphonse et Marguerite se sentent très attachés aux valeurs de la famille comme base de la société", selon l'Agence Efe.

 (source Efe)

Source : http://royaute-news.over-blog.com/article-le-bapteme-au-v...

06/09/2010

Baptême des princes Louis et Alphonse de Bourbon

MONARCHIE INFO fleur-de-lis2.jpg

fleur-de-lis2.jpgÉdition du 6 septembre 2010


Nous avons la joie de vous faire part du baptême de

Mgr le Prince Louis, Dauphin de France, duc de Bourgogne

et de Mgr le Prince Alphonse de Bourbon, duc de Berry, son frère.

Le baptême a été administré ce jour, 6 septembre 2010, en la Basilique Saint-Pierre de Rome,

par Son Eminence le cardinal Angelo Comastri,

Archiprêtre titulaire de la Basilique Vaticane et Vicaire général du Pape pour la Cité du Vatican.

Mgr Nicolas Thévenin, de la Préfecture de la Maison pontificale,

a lu la bénédiction apostolique.

Deo gratias !

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Ne manquez pas de visiter les sites Internet de l'UCLF ete de l'IMB
Vous y trouverez toutes les informations utiles que vous souhaitez obtenir
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