20/09/2012
Conférence mensuelle
INSTITUT DE LA MAISON DE BOURBON
Président émérite : Duc de Bauffremont
Président : Prince de Bauffremont
Conférence mensuelle
(Tous les premiers lundi de chaque mois – 19h00 précises) - Entrée libre.
Lieu : DRAC, 8 bis rue Vavin - 75006 Paris (Métro Vavin)
Possibilité de dîner : 21 € à régler au restaurant – pour réserver, s’inscrire
au secrétariat de l’IMB : 01 45 50 20 70
Lundi 1er octobre à 19H00 précises
« Les Oubliés du Temple»
par Dominique SABOURDIN-PERRIN, Docteur ès-lettres
et Spécialiste de la Famille Royale au Temple
La disparition progressive de l'enclos du Temple, de 1808 à 2011, ne permet plus de se faire une idée de ce lieu où résidait une nombreuse population en 1792. La Tour des Archives, prison de la famille royale, a été démolie sur ordre de Napoléon, emportant le souvenir de ses hôtes illustres. Mais, dès janvier 1794, l'oubli s'est étendu sur la prison où demeuraient encore les enfants royaux, Louis-Charles, Marie-Thérèse, la soeur du Roi, Madame Élisabeth et le gardien Tison. Quelques vestiges éparpillés dans des cours d'immeubles, autour du square du Temple, des documents d'archives et des Mémoires permettent une reconstitution de la vie quotidienne des prisonniers à l'intérieur de la Tour. Ce livre, qui s'appuie sur des documents d'archives parfois inédits, tente de redonner vie aux Oubliés du Temple.
Biographie de l'auteur :
Dominique Sabourdin-Perrin, capétienne Docteur ès-lettres, professeur de lettres modernes en collèges et lycée, conférencière, chevalier des Palmes Académiques, réside depuis plus de quarante ans, dans le quartier du Temple, à Paris. Elle s'est intéressée à ce lieu chargé de souvenirs, publiant divers articles dans la revue Histoire du IIIe arrondissement et divers bulletins.
Source :
http://documents.royaute.org/121001.pdf
23:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : imb, conférence, les oubliés du temple, dominique sabourdin-perrin
31/08/2012
MONARCHIE INFO
100e pèlerinage légitimiste à Ste-Anne d'Auray
Samedi 15 et dimanche 16 septembre 2012
Nous rappelons que l'essentiel des animations du pèlerinage sera assuré par La Troupe des Coeurs de Chouans.
Programme
Samedi 15 septembre | ||
Circuit de visites | ||
14h20 | : Regroupement des participants (parkings cars : rue de Pluvigner à Ste-Anne) | |
14h30 | : Départ en cars pour le Champ des Martyrs, la Chartreuse, Kerléano, le Fort Penthièvre à Quiberon | |
18h00 | : Retour | |
19h00 | : Dîner à Ste-Anne d'Auray, veillée [facultatifs] | |
21h30 | : Clôture | |
Dimanche 16 septembre | ||
Option n° 1 | ||
07h30 | : Marche du pèlerinage [Champ des Martyrs (Brec'h) - Ste-Anne] | |
Option n° 2 | ||
09h30 | : Visites guidées du sanctuaire et stands (librairie, souvenirs religieux, légitimistes et bretons) | |
Options n° 1 et 2 | ||
11h15 | : Dépôt de gerbes au monument du Comte de Chambord | |
11h20 | : Allocutions | |
13h00 | : Grand-messe en la basilique (rit tridentin) - Renouvellement de la consécration de l'UCLF et des autres associations présentes au Sacré-Cur | |
14h30 | : Repas salle du sanctuaire - Stands (librairie, souvenirs religieux, légitimistes et bretons) | |
16h00 | : Animations | |
17h30 | : Clôture |
Renseignements
Courriel : pelerinage100@yahoo.fr - Tél. : 06 25 51 79 45 / 06 32 05 07 02
Fédération Bretonne Légitimiste (FBL) - BP 10307 35703 Rennes cedex 7
Télécharger le numéro spécial de La Gazette Royale (consacré au pèlerinage) contenant le bulletin d'inscription
Télécharger le bulletin d'inscription seul
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29/08/2012
Martyre de St Jean-Baptiste (Ier s.) - Mémoire
DÉCOLLATION de
SAINT JEAN-BAPTISTE
Saint Jean-Baptiste, inspiré par l'Esprit de Dieu, se retira au désert pour mieux conserver son innocence et cultiver les dons extraordinaires dont il avait été favorisé. Il y vécut, depuis son enfance jusqu'à trente ans, dans la pénitence, la prière et la contemplation. Sa trentième année, il parut dans le monde pour y prêcher la pénitence et donner le baptême, qui en était le signe, d'où lui est venu le nom de Baptiste ou Baptiseur.
Déjà le Sauveur lui-même avait reçu le baptême des mains de Jean-Baptiste, et celui-ci avait rendu à l'Agneau de Dieu les plus glorieux témoignages. La vie du saint Précurseur touchait à son terme ; il ne lui restait plus qu'à sceller de son sang la divinité de sa mission. Hérode, gouverneur de la Galilée, menait une vie irrégulière avec Hérodiade, sa belle-sœur ; saint Jean, à différentes reprises, blâma avec force un pareil scandale ; aussi Hérodiade cherchait-elle l'occasion de se venger.
Depuis trois mois déjà, le courageux défenseur de la vertu était en prison ; mais cette vengeance ne suffisait pas à une femme voluptueuse et cruelle. Un jour qu'Hérode, pour célébrer l'anniversaire de sa naissance, donnait un festin à tous les grands de sa cour, Salomé, fille d'Hérodiade, dansa devant le prince avec tant de grâce, qu'Hérode s'engagea par serment à lui donner tout ce qu'elle demanderait, fût-ce la moitié de son royaume. La jeune fille sortit et courut raconter à sa mère la promesse dont elle venait d'être l'objet : « Que dois-je demander ? dit-elle à Hérodiade. - Demande la tête de Jean-Baptiste » répond la haineuse femme. Salomé vint aussitôt annoncer à Hérode le choix qu'elle avait fait. Hérode était plus corrompu que cruel ; il regretta sa promesse, il fut attristé de la demande ; mais il mit un fatal point d'honneur à ne pas manquer à sa parole devant toute l'assistance, et il envoya un garde trancher la tête de Jean-Baptiste ; celui-ci vint présenter à la princesse, dans un bassin, la tête du martyr, qu'elle alla aussitôt montrer à sa mère. Quand cette nouvelle fut annoncée à Jésus, qui la connaissait déjà par sa science divine, il manifesta une profonde douleur.
Le crime ne resta pas impuni, car Hérode, vaincu par ses ennemis, perdit sa couronne et périt misérablement. La fin d'Hérodiade et de sa fille ne fut pas plus heureuse. Il est à remarquer que la plupart de ceux qui ont joué un rôle odieux, dans l'Évangile, ont subi dès cette vie le châtiment de leur impiété et de leurs crimes.
Source :
http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&...
18:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : évangile, saint jean baptiste, martyre
25/08/2012
Présentation des Princes
20:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : louis xx, discours
24/08/2012
La disparition du comte de Chambord
Le 24 août 1883 marquait la mort d’Henri V comte de Chambord, successeur direct de Charles X. Selon les Lois Fondamentales du Royaume, la Couronne passait à la branche aînée d’Anjou, mais la branche cadette d’Orléans, s’appuyant sur un très révolutionnaire principe des nationalités, réussit à rallier la majorité des légitimistes. Cet œcuménisme politique entre un légitimisme traditionnel et un orléanisme d’essence libérale ne devait échouer qu’à former le bloc conservateur de la IIIe République. Pire, "l’effacement du légitimisme intransigeant ne laissait plus subsister en France (y compris chez les monarchistes) que des traditions révolutionnaires."
Un prince calomnié : le Comte de Chambord
Le 24 août 1883 mourait à Frohsdorf en exil volontaire et digne, après un long "règne moral" de près de quarante ans, le Comte de Chambord, Henri V.
Prince calomnié, encore mal connu ou méconnu, il fut victime de la propagande républicaine, hostile à toute formule monarchique, et, plus encore peut-être, des orléanistes, ces monarchistes libéraux qui avaient usurpé le trône de son grand-père Charles X en 1830.
Prendre possession de la légitimité au moyen de M. le Comte de Chambord et s’assurer ainsi sa succession, imposer au petit-fils de Charles X des conditions qu’il ne pouvait accepter, ou, s’il les subissait, qui rendraient son maintien impossible sur le trône ; l’amener ainsi à une abdication avant ou après : tel avait été, dès le principe, le plan aussi astucieusement conçu qu’habilement suivi par les principaux chefs du groupe orléaniste libéral, et dont quantité d’honnêtes royalistes furent les coopérateurs, pour ne pas dire les complices inconscients.(Arthur LOTH, L’échec de la restauration monarchique en 1873, Paris, 1910, p. 525.)
On a ainsi volé au Comte de Chambord non seulement ce règne "réparateur et fort" qu’il ambitionnait, mais l’intelligence de sa vie et une partie de sa mort, — en tout cas sa succession politique.
Source Vive le Roy :
18:58 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : vive le roy, comte de chambord
14/08/2012
Histoire du pèlerinage légitimiste
C’est en 1624 que, dans le modeste hameau appelé alors Keranna, sainte Anne, patronne de la Bretagne, apparaît à un humble paysan, Nicolazic, pour lui demander qu’y soit reconstruite la chapelle qui lui était jadis dédiée.
Un lien s’instaure, presque immédiatement, entre la famille royale française et cette petite ville devenue Sainte-Anne d’Auray, dans le diocèse de Vannes.
En 1628, la reine Anne d’Autriche demande d’y faire des prières publiques pour obtenir un héritier et, en 1639, le roi Louis XIII, en remerciements pour la naissance du futur Louis XIV, y fait don d’une relique de sainte Anne.
C’est, dès lors, une tradition, dans la Maison de France de recommander à sainte Anne, la naissance des princes. La Grande Dauphine, le duc d’Angoulême, la duchesse d’Angoulême, la duchesse de Berry, … ont, par leurs visites, témoigné de cette fidélité, enrichissant chaque fois le Trésor de la basilique. En 1795, alors que les révolutionnaires occupent lepays,des rassemblements ont lieu à quelques kilomètres de Saint-Anne, au Champ des Martyrs, là où Hoche a laissé fusiller quelques cinq cents prisonniers auxquels, pour hâter la reddition de Quiberon, il avait promis la vie sauve.
En 1815, après le retour des Bourbons, les rassemblements se font autant à Sainte-Anne qu’au Champ des Martyrs.
Le 2 juin 1844, en exil à Göritz, le duc de Bordeaux succède à son oncle Louis XIX. Il n’a que vingt-quatre ans et les légitimistes, durement éprouvés par les persécutions de la Monarchie de Juillet, reprennent espoir. Plusieurs d’entre eux se sont donné rendez-vous à Ste-Anne d’Auray, le dimanche 29 septembre suivant, pour prier à l’intention du jeune roi, dont c’est le jour anniversaire. La démarche se systématise. Un pèlerinage est né !
Par ailleurs, au plan religieux, Sainte-Anne d’Auray est, aujourd’hui, avec près de 700 000 pèlerins annuels, le premier lieu de pèlerinage breton. Le pape Jean-Paul II a bien voulu l’honorer d’une longue visite en 1996.
Ste-Anne d’Auray et la Famille royale de France
Le sanctuaire de Sainte-Anne conserve les témoignages précieux de la piété de l’auguste Maison de France.
Dès 1628, la reine Anne d’Autriche demande de faire à Ste-Anne des prières publiques et quotidiennes pour obtenir un héritier au trône.
En 1638, elle obtient du pape Urbain VIII l’érection d’une Confrérie royale de saine Anne « en sa chapelle près d’Auray ». Sur les registres de la confrérie, où la reine s’inscrit en première, s’alignent les noms de la plupart des Grands du royaume.
En 1639, Louis XIII, en remerciements pour la naissance du futur Louis XIV, donne un riche reliquaire.
En 1644, Henriette de France, reine d’Angleterre, vient accomplir un voeu. Elle peut s’entretenir avec le voyant, Yves Nicolazic et laisse à la chapelle une croix d’or enrichie de diamants.
En 1814, c’est au nom du roi Louis XVIII que le duc d’Angoulême visite la petite cité. La duchesse d’Angoulême offre un ostensoir en vermeil et, en 1823, elle vient elle-même prier la mère de Marie. La duchesse de Berry la suit quelques années plus tard et laisse au sanctuaire une lampe en argent. La comtesse de Chambord ne faillit pas à la tradition. Elle faitdon à la basilique d’une chasuble qu’elle a, elle-même, brodée.
Source : Gazette Royale, cliquez sur le lien ci dessous pour télécharger gratuitement le numéro spécial édité à l'occasion du pèlerinage contenant le bulletin d'inscription.
18:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : uclf, gazette royale, pèlerinage légitimiste, bretagne
09/08/2012
La pensée politique d'Ernest Renan
Un auteur qui n'est pas vraiment des nôtres ! En raison de son livre de 1863 intitulé "Vie de Jésus", dans lequel il développe sa thèse bien évidemment hérétique, niant la divinité du Christ.
La Gazette Royale, organe de presse légitimiste de l'UCLF, a édité dans son dernier numéro une étude de 12 pages sur la vie de Renan (1823-1892), pour mieux comprendre le cheminement politique de ce personnage. Et notamment ce qui peut nous séduire dans sa pensée, c'est à dire sa critique de la démocratie que l'on peut découvrir dans son livre "La réforme intellectuelle et morale de la France". Ouvrage dans lequel Renan tente de donner une solution au problème politique français posé depuis la chute de la royauté...Citations :
"Le jour où la France a coupé la tête de son roi, elle a commis un suicide".
"Un de plus mauvais résultats de la démocratie est de faire de la chose publique la proie d'une classe de politiciens médiocres et jaloux, naturellement peu respectés de la foule, qui a vu son mandataire d'aujourd'hui humilié hier devant elle, et qui sait par quel charlatanisme on a surpris son suffrage."
Dans ce dossier proposé par l'Union des Cercles Légitimistes de France, le lecteur trouvera des réponses aux questions suivantes :
- Renan a-t-il été lu par les Royalistes de son temps ?
- Renan pouvait-il être écouté des Royalistes ?
- Quelle a été la portée de la pensée de Renan dans la vie politique française du XXème siècle ?
Vous voulez vous abonner à la gazette royale ? Merci de bien vouloir télécharger le formulaire nécessaire et l'envoyer dûment rempli, à l'adresse indiquée :
21:04 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : uclf, gazette royale, légitimité, presse légitimiste, formation
07/08/2012
Le duc d'Anjou et sa famille en vacances
http://royaume-de-france.clicforum.com/t823-Le-duc-d-anjou-et-sa-famille-en-vacances.htm#p7550
22:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : duc d'anjou, vacances, famille royale, louis xx
26/07/2012
Archives / Duchesse de Segovie
Texte du discours que la Duchesse de Ségovie a prononcé lors de la réception qui lui avait été offerte pour son quatre vingtième anniversaire. On y retrouve son extrême délicatesse et son sens du devoir envers la royauté
Chers Amis et Fidèles,
Comment ne pas être émue par cette cérémonie que vous avez voulu organiser à l'occasion de mon anniversaire ?
Emotion que les mots n'auront pas assez de force pour traduire totalement.
Ainsi, aux deux beaux discours que nous venons d'entendre, je répondrais, avant tout, par le coeur.
Cher Monsieur l'Abbé‚vous me permettrez, brisant l'ordre des prérogatives que vous confèrent votre état religieux, de penser d'abord à notre cher Guy Augé. Comme vous tous, je le connais depuis de nombreuses années, ayant pu apprécier autant ses grandes qualités humaines qu'intellectuelles dont nous venons d'avoir un nouvel exemple. La terrible maladie qui le terrasse et l'empêche d'être à nos côtés ce soir est pour moi une profonde tristesse.
A vous, Monsieur l'Abbé‚ cher Abbé Chanut, comment dire une nouvelle fois combien les mots que vous venez de prononcer me vont droit au coeur. Plus que tout autre vous avez été le témoin des joies et des peines qui ont jalonné ma route ces dernières années. Vous avez su le dire avec toute la pudeur, la retenue et aussi la passion qui sont les vôtres.
Je reçois ces deux discours et les présents que vous avez tenu à me faire, comme des hommages précieux qui illumineront les années que Dieu continuera à m'accorder pour demeurer auprès de vous et tenir la mission que la monarchie royale française confie aux femmes, celui de transmettre la Tradition.
Lourd fardeau, pour une Mère qui, au soir de sa vie, a perdu un Fils bien aimé‚ qui incarnait tant et tant d'espoirs.
Lourd fardeau à transmettre aujourd'hui à mon Petit-Fils dont je sais qu'il est avec nous, ce soir, par la pensée.
Comme vous tous, je place mes espérances dans le Prince Louis. Héritier d'une tradition séculaire, successeur légitime de la glorieuse lignée des Rois qui ont bâti la France, il représente, aussi, la jeunesse, c'est à dire l'avenir.
Les vingt ans qu'Il atteindra dans quelques mois représentent, pour vous comme pour moi, tous les plus chers espoirs.
Depuis quelques années nous consacrons, mon fils, le Prince Charles-Gonzalve et moi-même toutes nos forces à défendre ses droits, à lui transmettre l'héritage qui est le sien, à lui apprendre les devoirs d'un Fils de France vis à vis de son pays.
Dans cette mission, vous êtes nombreux à m'accompagner et à m'aider. Au cours de ma longue vie je sais quel dévouement a toujours suscité‚ la cause de la Maison de Bourbon. Certains sont morts, d'autres ont été pris par d'autres tâches ou ont été obligés de s'éloigner du fait des maladies ou de la vieillesse. Mais la relève est toujours assurée et la fidélité‚ demeure au-delà de tous les bouleversements. Soyez-en remerciés, cela aussi est pour moi un grand réconfort et me donne l'énergie de continuer ma mission.
Je ne peux saluer ni remercier individuellement chacun de vous, je le fais donc à travers les organisateurs de cette soirée qui sont aussi les dirigeants des principales associations qui vous rassemblent : le Professeur de Vernejoul que mon Fils avait appelé aux fonctions qu'il occupe ; le duc de Bauffremont au dévouement inlassable depuis presque cinquante ans ; et enfin mon cher Neveu, le Prince Remy qui depuis quelques années assume lui aussi pleinement ses devoir de prince de France.
A tous les trois, à ceux qui les assistent, à vous tous présents ici ou par la pensée, j'adresse un grand et chaleureux merci.
18:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/07/2012
Forum Légitimiste du Royaume de France
L’équipe de ce forum adhére sans restriction à la pensée légitimiste traditionnelle, telle qu'elle est défendue et promue par l'U.C.L.F.
Son but est de faire connaître les Cercles UCLF de nos provinces, faciliter les contacts entre les légitimistes. Entretenir les échanges, produire des amitiés et des relations sincères.
Venez vous inscrire et participer au Forum Légitimiste :
http://royaume-de-france.clicforum.com/index.php
- Un cercle, c’est l’accès facilité à une culture légitimiste
- Un cercle, c’est votre participation, dans un cadre amical, aux affaires publiques
- "Refuser de prendre aucune part aux affaires publiques serait aussi répréhensible que de n'apporter à l'utilité commune ni soin ni concours". Léon XIII
- « Le régime monarchique a un sens pour l'avenir parce qu'il est celui de la tradition française. Je vous demande de prendre votre place dans la société. » Prince Louis de Bourbon
12:27 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : forum, internet, uclf, légitimité, formation